Accueil > LE COUPLE WOERTH : DES IMPOSTEURS
Jusqu’où ces deux personnages pensent-ils nous mener en bateau ?
Mme occupe le poste de directrice (et perçoit la rémunération correspondante) dans une officine glauque de gestion de patrimoine, presque essentiellement celui de Mme BETTENCOURT dont le père a entretenu des liens plus qu’étroits avec la Cagoule.
Les activités qui sont les siennes la conduisent, dit elle, à s’occuper des placements de la mamie et elle déclare sans pudeur qu’elle ignorait l’existence des comptes à l’étranger.
Femme du ministre du budget et de la casse des retraites, elle aurait donc eu, à l’entendre, pour activité celle relative aux placements de Mme BETTENCOURT à la Caisse d’Epargne, sur les livrets A, Livrets bleus du Crédit Mutuel, etc……..voire pas d’activité du tout puisque ne connaissant rien ou presque de la localisation des avoirs de la seule cliente de son employeur.
Tous les français ne sont pas des veaux et chacun comprendra que la posture de la mère Woerth et de son mari relève du grand guignol. En effet, gérer les comptes, et sans doute un peu le patrimoine de la fille de SHUELLER, c’est bien évidemment connaître l’existence des multiples comptes et avoirs dont elle dispose notamment dans des paradis fiscaux ; à cet égard, les enregistrements mis en ligne sur Médiapart sont révélateurs et tout le monde sait bien que les titulaires de fortunes disposent de sommes importantes dans des établissements financiers situés à l’ étranger et plus spécialement dans des pays où la discrétion bancaire s’érige en principe, c’est à dire tout bonnement de paradis fiscaux.
En revanche, si Mme Woerth exerce une activité de directrice dans une société de conseil et qu’elle ignore tout de la personne à laquelle elle est normalement amenée à apporter des conseils, elle occupe alors un emploi relatif à une fonction fictive pour lequel la rémunération est un abus de bien social.
Cette affaire est une véritable affaire d’état car, à n’en pas douter un instant, si une justice impartiale et diligente pouvait agir, on découvrirait également sans peine que le chevalier blanc Woerth (celui qui a mis en place une procédure discrète pour faciliter le retour de l’argent des bandits fiscaux) n’ignore en rien la situation réelle de Mme BETTENCOURT.
La racaille, dehors !