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La police torture en egypte, deux flics sous les verrous

Publie le dimanche 14 janvier 2007 par Open-Publishing
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Grâce au net, deux policiers arrêtés.

Dans chaque commissariat en Égypte, il y a de gros bras qui savent comment si prendre pour réduire à rien un autre humain. Dans le commissariat de de Boulaq, les vrais bandits sont les policiers, et la preuve de la stupidité des hommes en uniforme du pays, c’est qu’en torturant des prévenus, ils se filment.

Manque de bol, ou tant mieux ( !), une de leur vidéo, durant la quelle ils pratiquent ce qui se fait dans les commissariats égyptiens quasiment continuellement, et ce pourquoi de nombreuses ONG des Droits de l’Homme attaquaient l’Egypte : LA TORTURE, à été publié sur un site très visités du pays : Wael Abbas, la gravité des faits, éclate en plein jour. Ensuite, le web a enchaîné les publication insupportables de telles pratiques dans les commissariats égyptiens.

Emad Al-Kabir, est un chauffeur de taxi âgé de 21 ans malheureusement pour lui, le 18 janvier 2006, un de ses proches se querelle avec des policiers. il s’y mêle. . Arrêté, il est conduit au commissariat de Boulaq, un quartier populaire de la capitale égyptienne. Là on l’accuse de "refus de coopérer".

Durant la nuit il subit des violences physiques, libéré par la justice sous caution, il est quand même gardé au commissariats. entre le 19 et 20 janvier Dans la nuit du 19 au 20 janvier de l’an dernier, il est torturé dans une pièce du commissariat, avec un bâton on le viole, et le tout filmé avec un cellulaire - caméra.

Au cours des mois qui suivent la vidéo circule dans le quartier de Boulaq. Emad Al-Kabir ne portera plainte qu’en novembre 2006, prouvant les faits avec la vidéo. A ce moment il a peur pour son frère qui à son tour s’est fait arrété. Malgré les pressions exercées sur lui, Emad Al-Kabir refuse de retirer sa plaine. Les représailles ne tardent pas. Le 10 janvier 2007 il a été condamné à trois mois de prison pour avoir "agressé un policier et fait obstacle aux autorités".

Mais la pleinte est prise en compte, fin décmenbre deux flics responsables des tortures comises sur d’Emad Al-Kabir, attendent leur leur sort.

Ils seront jugés le 3 mars prochain.

Mais les tortures se poursuivent, les vid"os multiples montrent de véritables sitations d’horreurs, comme une femme écartelés entre deux chaises qui hurle à la mort, certaines de ces vidéos, toutes isssues dues portables de la police sont à la limite du supportable.
Pour l’Egypte il s’agit là de cas minoritaires... Des cas exceptionnels, du faits divers sans plus... Aujourd’hui une journaliste D’Al Jazira, notre confrère arabe, faisant une enquête sur cette situation intenanble à été arrêté par la police. Mme Taha devait quitter l’Egypte le 8 janvier mais a été bloquée à l’aéroport du Caire. Son ordianteur, plus de cinquante enregistrements ont été confisqués. "Nous n’avons pas de détails sur les accusations à son encontre", a indiqué le directeur du bureau du Caire de la chaîne. Par contre en agissant ainsi les autorités égyptiennes ne prouvent qu’une chose c’est qu’elles cautionnent et protége l’horreur, et plus la presse en parlera mieux ce sera !

13.01.2007 19:32 RADIN RUE /samedi 13 janvier 2007, par radinrue.com

http://www.radinrue.com/spip.php?ar...

Basta

http://20six.fr/basta/art/6980367

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