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Lettre à l’UDF et à Azouz BEGAG, pour dire la vérité !

Publie le vendredi 20 avril 2007 par Open-Publishing
14 commentaires

Ces ministres n’ont jamais démissionné de leur équipe, quand bien même celle-ci prônait des positions d’une droite dure, CNE, Kärsher, racailles, traque des sans-papiers, et causait des crises inouïes : CPE, Révolte des quartiers populaires.

Il y en a un qui passe particulièrement mal pour moi : c’est AZOUZ BEGAG, qui vient apporter sa “volonté et sa gentillesse” au rassemblement prôné par Bayrou.

Ce qui suit relate UNE EXPERIENCE VECU avec Azouz Begag.

Je tractais au métro Guillotière à Lyon pour un(e) des 3 “B”, en remarquant qu’une équipe de F2 était présente sur les lieux. Etant moi-même réalisateur de métier, je parle technique quelques minutes, sans leur demander pourquoi ils sont là.
Brusquement, je découvre qu’ils filment M. Azouz Begag dans ce quartier cosmopolite et fort agréable, qui vient pour le meeting de M. Bayou, ce lundi à Lyon.
Ma première réaction est de lui serrer la main, car cet homme m’est sympathique. Il remarque que je tracte pour le rassemblement populaire et antilibérale, et me déclare que nous sommes tous deux des “républicains”.

Avec quelques autres militants, nous lui posons certaines questions : pourquoi être rester dans le gouvernement dominé par le ministre de l’intérieur Nicolas Sarkozy, qui a employé les termes de Kärsher, de racailles, et pourquoi ne s’est-il pas rebellé contre ce ministre lors des révoltes des quartiers populaires de 2005, quand Sarkozy parlait de manipulation de mouvements extrémistes, de la faute du concubinage, et autres propos ignobles et racistes.

Avec une brutalité que son air éternellement gentil à la télévision ne laissait pas soupçonner, il prend à parti la foule qui nous entoutait en criant : “demandez à ces jeunes pourquoi il n’y a pas d’arabes et de noirs au Parti Communiste” !

Extrèmement choqué par ses propos, je lui signale qu’il est en train de faire le jeu du communautarisme à outrance, essayant piéger les jeunes qui nous entouraient. Je lui fais remarquer que sa méthode est très basse. J’ai d’autant plus de raisons de le dire que dans le 7ème arrondissement de Lyon, et dans la première circonscription, les élus qui soutiennent le mouvement populaire et antilébérale se nomment Karim Helal et Sabhia Hamine !

Azouz Begag nous ramène alors à l’histoire de la gauche “socialo-communiste” ces trentes dernières années, qui n’aurait rien fait pour l’intégration des enfants de l’immigration dans le pays.

Nous lui rappelons, puisqu’il ne veut parler que du PCF, et non de la démarche actuelle Populaire et Antilibérale, que ce parti s’est toujours opposé aux politiques colonialistes, notamment durant la guerre d’Algérie (rappelons que des hommes comme Henry Alleg, parce qu’ils étaient, sur le territoire algérien, indépendantistes, communistes et juifs, ont été arrêté par les paras et torturés, cf. le livre d’Henry Alleg “La Question”.).
Azouz Begag nous rétorque : “c’est le passé, moi c’est le présent qui m’intéresse”.

Ah bon ? Si le passé ne vous intéresse pas, M. Begag, pourquoi avoir écrit un roman sur votre enfance, “Le Gone Du Chaaba”, qui a été transposé au cinéma ? Il y aurait-il un passé sélectif ?

Comment se fait-il, M. Begag, que vous n’ayez démissionnez de votre poste de ministre pour “l’égalité des chances ” qu’en Avril ? Comment se fait-il que vous n’ayez opté pour Bayrou qu’en Mars ? Comment se fait-il que vous ecriviez seulement aujourd’hui un livre de dénonciation sur le caractère violent et raciste de Nicolas Sarkozy pendant ces dernieres semaines de la campagne ?

M. Begag, vous avez été “séduit” par Sarkozy et maintenant que ce dernier tient des propos honteux sur la France “qu’on aime ou qu’on quitte”, vous sentez le vent tourner. Vous êtes “séduit” par Bayrou, homme de droite qui a bien compris que face aux discours sécuritaires et répressifs de Sarkozy, il pouvait interpréter le rôle d’une France de la “Réconciliation”.
En tout opportunisme, bien sûr.

Avez-vous oublié, M. Begag , que le CNIP, célèbre parti d’Antoine Pinay, est à l’origine de l’UDF ? Avez-vous oublié, M. Begag, que ce parti a profondément influencé la politique coloniale et guerrière en Algérie ?
C’est vrai ! Ce qui vous intéresse, c’est le présent, surtout quand il est question de votre autobiographie.

Moi, je me rappelle de J.P. Chevènement, qui n’est franchement pas ma tasse de thé, qui a démissionné du gouvernement Mitterrand, déclarant, concernant la première guerre en Irak, qu’un ministre devait “fermer sa gueule ou démissionner”. Je le respecte au moins pour ça.

Parce que vous, Azouz Begag, alors que les quartiers populaires étaient en révolte, alors que votre ministre Sarkozy proclamaient déjà des discours racistes, des discours de division, vous n’avez rien dit ou si peu. Vous vous êtes accroché à votre poste de ministre, jusqu’à la dernière seconde.
Vous n’avez aucun courage, vous vous posez en victime, et vous changez de camp à deux mois des élections, et vous ne quittez votre ministère qu’à un mois de ces dernières !
Il n’y a qu’un mot pour ça : opportunisme.

En fin de compte, M. Begag est parti, car il n’était plus l’heure de se faire filmer par F2 dans cette place métissée qu’est la place Gabriel Peri. Le meeting de M. Bayrou attendait ses courbettes. Il est parti en nous insultant, en prenant la foule à témoin.

Seulement moi, je suis resté dans cette foule. J’ai parlé avec des citoyennes, des citoyens, originaire de l’immigration, qui m’ont dit leur amertume devant le comportement de M. Begag. “Il vient souvent dans ce quartier se faire voir, mais il ne fait rien pour nous”, m’a-t-on dit. Manifestement, Azouz Begag, par ses réparties insultantes, s’étaient aliénés ceux qu’il prétend aider. Nous avons discuté près de deux heures. Au moins, Azouz Begag aura servi au débat citoyen, dans la rue. Mais il ne dupe personne, sur cette place Gabriel Peri.

Tout cela pour vous dire que nous nous battons souvent inutilement pour les “3 B” représentant la gauche de la gauche. Votez pour qui vous voulez parmis ceux-là. Mais n’oubliez jamais qu’il y a un “4ème B”, je nomme François Bayrou. Que cet homme est une baudruche soutenue par des caciques de centre-gauche, ou de centre-droit. Qu’il compte parmis ses soudains partisans des personnes comme Azouz Begag, dont la haine viscérale de la gauche et de l’extrème-gauche pousse à des propos d’une violence inouïe.

Je vous apporte ce témoignage, parce qui s’est passé m’a a fait mal, et que la vérité sur l’UDF doit être dite, à l’aune d’ une expérience personnelle, où l’on découvre qu’un homme, Azouz Begag, qu’on croyait respectable, instrumentalise le comunautarisme.

Pourquoi ? Pour soutenir une candidat, François Bayrou, qui veut nous imposer un bipartisme à l’américaine.
Quand bien même Azouz Begag, sociologue, ministre de la République, fasse figure de tête de gondole comme dans un supermarché pour l’UDF, n’oublions jamais que ce parti est libéral, de droite, et proclame la volonté de porter atteinte aux acquis sociaux du peuple français, dans toute sa diversité culturelle.

Cordialement, avec toutes mon amitié antilébérale, des collectifs antilibéraux.
LE LYONNAIS

Messages

  • "que ce parti s’est toujours opposé aux politiques colonialistes, notamment durant la guerre d’Algérie (rappelons que des hommes comme Henry Alleg, parce qu’ils étaient, sur le territoire algérien, indépendantistes, communistes et juifs, ont été arrêté par les paras et torturés, "

    Malheureusement, mon pauvre, pour la guerre d’Algérie, le parti communiste en tant que parti n’a pas été bon, et c’est connu !

    Il y a eu des communistes courageux isolés, oui, et le plus souvent, non soutenus par le parti.

    Alors, on peut encore comprendre certaines réactions viscérales ou épidermiques !...

    • On peut ajouter que l’Algérie était=la France.

      Ce qui faisait dire qu’il n’y avait pas la guerre en Algérie, et donc pas de guerre coloniale, mais de la guerre civile, du terrorisme, de la sécession, etc. Le fellaga, ou nord-africain voulant l’indépendance, était vécu par l’armée française comme un être très dissident, puisqu’il voulait l’indépendance par rapport à un pays si parfait que la France.

      Pour les français qui ont torturé là-bas, cette évocation d’indépendance leur était insupportable.

      C’est d’ailleurs le souvenir le plus repoussant que laissera Le P.

      Mais le PC ne s’est pas illustré comme un bloc contre cette guerre.

      Le philosophe A. Camus non plus. C’est un comportement qui lui a d’ailleurs été reproché. Sa position intellectuelle aurait pu être un facteur d’apaisement.

      Les quelques modérés politiques, de la métropole ou algériens, qui essayèrent d’empêcher antérieurement la dureté du conflit en demandant l’égalité des droits civiques et politiques sur le sol algérien, ont été assassinés.

      Cela laisse des traces et il faut garder modestie devant la nature humaine et ses révoltes.

    • Si un article parle de bande dessinée d’une manière générale et de titi et gros minet en particulier il y aura toujours un type pour venir planter dans ce sujet un petit coup de passé colonial de la France !
      Les cocos dans deux siècles déblateront-ils encore sur la guerre d’Algérie ???
      Un peu comme si nous n’avions toujours pas digéré les exactions du temps des barbaresques ou d’horribles arabes venaient tuer, violer, piller, razzier, sur les côtes européennes de la méditérannée...
      Regardes devant toi camarade et avances !!!

    • Je vais vous raconter mon premier vote en 1969, car je ne comprends pas votre obstination à taper sur trois adversaires de droite en même temps.

      Plutôt issue d’un milieu gaulliste, centre-gauche, j’ai vécu 68 comme une véritable libération intellectuelle et relationnelle. Je vous prierai de mettre de côté la soidisant gabegie sexuelle, que nous aurions inventée, entretenue, et pour laquelle raison unique nous serons descendus dans la rue !

      Nous n’étions ni plus ni moins sots qu’une autre génération. Nous souhaitions une société moins dominée par l’argent, le travail à la chaîne, et tous les travaux abêtissants en genéral. Le « baby-boom » d’après guerre faisait que nous étions très nombreux et cela a compté. Pour moi, ça restera un succès, avec 30% d’augmentation du SMIC en fin de course, grâce évidemment à l’appui des syndicats et des travailleurs.

      La plupart n’ont pas voté en 68, puisqu’il fallait avoir 21ans, ceci pour rappeler que l’Assemblée de droite de 68 n’était pas un quelconque retour des jeunes au bercail.

      En 69, tout naturellement éloignée de tout ce qui pouvait rappeler la droite, j’ai voté à gauche, DUCLOS, PC, pour ne rien vous cacher. Il fera 21%, ce qui est remarquable. Et je n’ai jamais regretté. En revanche, les autres socialistes, feront de faibles scores. J’étais jeune et je pensais que la droite, c’était fini et bien fini. Las ! Deuxième tour : Poher/Pompidou. Je tombai des nues !

      On apprend avec l’âge, que l’on ne combat pas la droite, mais DES DROITES !

      Le P. arrive en 1988. Il dépasse les 14%. Ce serait un affront de vous rappeler 2002.

      Aussi rêvons, mais pas trop. Toutes les voix ne vont pas se répartir à gauche ! Aussi, plutôt que d’avoir deux droites dures au second tour, favorisons la droite la moins extrême. Deuxième partie de la stratégie : UNISSONS-NOUS à gauche sur une vraie gauche, qui ne nous renverra pas à une gauche qui n’en est pas, c’est-à-dire ROYAL.

      C’est l’explication de mon vote de dimanche. Quant au vote lui-même, je vous ai souvent dit que plus j’avance en âge, et plus j’ai tendance à le garder secret. J’en discute par la suite, si nécessaire, comme je le fais aujourd’hui.

      Monique Renouard

    • MECONNAISSANCE DE L’HISTOIRE OU MENSONGE ?

      Ecrire :"Pour la guerre d’Algérie,le parti communiste en tant que parti n’a pas été bon et c’est connu" est une affirmation contraire à la réalité historique.

      En effet du début à la fin de la guerre d’Algérie, le PCF a été le seul parti en tant que tel à mener une intense bataille politique qui lui a valu de prendre bien des coups.

      Toutes les manifestations exigeant l’ouverture de négociations (manifs souvent interdites) ont été organisées et animées par le PCF, l’Huma a sans cesse dénoncé les tortures et a souvent été victime de censure et de saisies par le pouvoir.

      Rappelons seulement le livre d’H Alleg "La question" dénonçant la torture,interdit de publication et diffusé clandestinement.

      Rappelons les neuf morts de Charonne tués par la plolice lors d’une manifestation pour la paix en Algérie. Huit des neuf victimes étaient membres du PCF dont un jeune responsable des Jeunesses Communistes.

      Mon père,militant communiste et syndicaliste a été directement menacé par les fascistes de l’OAS parce qu’il animait cette bataille politique.

      On pourrait terminer en indiquant que le PCF a assumé sa politique anticolonialiste pas seulement à propos de l’Algérie mais aussi au moment de la guerre d’Indochine en appelant les dockers de Marseille à refuser de charger des bateaux d’armes et en défendant Henri Martin refusant de se battre contre les partisans de l’indépendance.

      S’il est un sujet à propos duquel le PCF n’a pas à rougir de honte c’est bien celui-là.

      Les productions historiques (hélas peu abondantes) sur ce sujet montrent que votre affirmation ne tient pas face aux faits .

      On peut rapprocher cette attitude de celle des autres partis à l’époque qui soutenaient les interventions militaires et cautionnaient la torture,y compris la SFIO ancêtre du PS.

      JL GREGOIRE

    • Le parti communiste n’aurait pas été "bon" pendant la guerre d’algérie comme dit ce personnage.

      C’est tout à fait du niveau des mensonges de Begag

      Etudiant a grenoble en 56-59 le PCF seul parti en tant que tel à s’être opposé, dès les premiers jours à la gerre d’Algérie a organisé des dizaines de manifestation contre cette guerre auxquelles j’ai participé.

      Ainsi fin juin 1956 j’ai pris le train à Chambéry pour Grenoble où je passais le lendemain le concours d’entrée à l’Istitut Polytechnique.Tout au long du parcours ce train ramassait des rapellés( j’ai un frère qui le fût par la grace de G. MOLLET) ces rappelés tirer sans arret l’alarme pour empécher le train d’avancer.C’est ainsi qu’il mis 4 heures pour regoindre Grenoble. A chaque agglomeration traversée dirigée par le PC la population avec les élus communistes ceint de leur écharpe tricolore etaient présent (PONTCHARRA,GONCELIN,BRIGNOUD,DOMENE)

      Le 8 novembre 1954 soit huit jours à peine après le déclenchement de la gerre de libération par le FLN, le bureau politique du PC,alors, qu’il n’avait aucune information sur l’origine et les participants au début de cette lutte armée, publieait une déclaration demandant que le gouvernement"RECONNAISSE LE FAIT NATIONAL ALGERIEN". Ca c’est très facile à vérifier.

      L’HUma saisie des dizaine de fois, notamment au lendemain des massacres des algerien à Paris d’octobre 1961, les militants communistes emprisonnés, ou assassinés ,le massacre de CHARONNE 8 militants communistes tués.Le livre de Henri ALLEG (toujours membre du PCF) "LA GUERRE D’ALGERIE" témoigne en détail de tout cela.

      C’est une honte d’écrire de pareil propos.iIs sont du niveau de ceux de LE PEN et de ses disciples qui nient l’existence des chambres à gaz.

      Quant à l’absence d’élus de l’immigration dans les rang du PC je citerai simplement YASMINA BOUDJENA députée européen 2eme sur la liste communiste de 2000 à 2005

      L. BOURSON membre du PCF depuis 1958.

    • Que le Parti n’ait pas été PARFAIT pendant la guerre d’Algérie , qui dira le contraire ? PERSONNE n’est parfait ! Il n’empêche : quel Parti autre que le PC s’est BATTU contre la guerre , LES guerres ? Expliquez moi pourquoi, en 1960, à ALGER, on trouvait "Le Canard Enchaîné " , mais on trouvait pas "lHUMA " ! POURQUOI ?
      En 1950, mon père - qui ne fut JAMAIS membre d’un Parti -me faisait apprendre, sur l’air de " MAître PIERRE " :

      Rien à fair, pour la sale guerre,
      Rien à fair, nous ne marchons pas
      Notre sang, et puis notre chair,
      Ramadier, tu ne l’auras pas,
      En Indochine nous ne voulons pas fair campagne
      Trimer, marcher, et puis mourir, c’est pir que l’bagne
      ....................................
      ......................................
      Refrain :
      Non, non, nous ne voulons pas
      Au Viê-êt-Nam, faire la guerre,
      Non, non, nous ne voulons pas,
      Pour vos profits, crever là-à-bas"

      Preuve que le Parti luttait bien avant ,d’ autres pour l’indépendance des peuples ! Et pour des tas de valeurs qui ont fait que nous sommes ce que nous sommes ...De plus, la photo du "petit père des peuples" trônait sur la cheminée : allez faire comprendre çà à des jeunes qui n’ont connu que la vie facile et la gabegie actuelle, et pour qui l’histoire politico sociale de la France commence en 1968 : AVANT, c’est l’AMNESIE !!!

      Pierrot, de B. et A.

    • Vous semblez tous oublier qu’en algerie existait le PCA , et que les communistes d’algerie ont pris leur part du combat , pour le reste , c’etaient des militants MRP qui se sont fait tuer par papon à charonne ?
      c’etait le populaire qui était censuré un jour sur deux , c’etaient des communistes qui etaient gouverneur general comme lacoste ?
      Nous n’avons , nous communistes , aucune leçon à recevoir en matiere de décolonisation , que ceux qui peuvent en dire autant levent la main .

      claude de Toulouse .

    • ma mere aussi a adhére en 1958 tres sale année(arrivée de de gaulle ,constitution voté avec un score ecrasant )
      et Jamais je n’ai vu de tracts,j’étais gamin à l’epoque mais la justice et l’egalité je connaissais déja,donc jamais une affiche réclamant :l’independance pour l’algérie.
      moi qui entendait tres souvent les discours sur la resistance antinazy,j’etais assez étonné.
      Et plus tard j’ai appris les massacres ,je dis bien massacres de Setif !! et les communistes au pouvoir à l’époque..
      alors oui le pcf luttera contre la guerre et ses militantsle pairont chérement,mais cela n’enléve rien malheureursement aux critiques justifiées sur les plein spouvoir à guy mollet et sur le refus de l’independance algerienne .
      le pcf jouaiot sur deux tableaux,ne pas se couper des masses,dons arreter la guerre ,mais ne pas se couper du ps,donc soutien à guy mollet
      rest que mourir pour mourir ,les miliatants du pcf à charonne aurait été plus grands à le faire sur la revendivation de l’indépendance pour le, peuple algerien.
      Car en 1941 le pcf ne luttait pas pour la paix en france ,mais bien pour l’indépendance nationnale !!
      alors ce qui est juste pour les français ne l’est plus pour les algériens ?
      Spartacus

    • BON,SUPPOSONS ET ACCEPTONS QU’AU SUJET DE L’ALGERIE LE PCF A OU AIT COMMIS DES FAUTES.MAIS POURQUOI NE JAMAIS,JAMAIS,JAMAIS DENONCER TOUS CEUX QUI N’ONT JAMAIS RIEN FAIT D’AUTRE QUE TORTURER,ASSASSINER ??? JAMAIS DENONCER LA S.F.I.O(le PS d’alors)ET LES DROITES ?C........!!! M.BORDE(AJACCIO)

  • demain si sarko pass et appell BEGAG il sera présent,nous les francais "musulmens" BEGAG est respensable ,meme plus que SARKOZI il a participé à nos malheurs par des lois des insultes envers nous il ne passe pas une semaine que un membre du gouvernement nous insulte direct ou indirect surtout quand ils visitent israel pour eux nous somme tous des antisémites des fénients des assistés,quand je revoi celà j’ai la rage,

    • Begag est un rigolo, qui fait honte aux immigrés d’Algérie, qui avance des choses comme ça l’arrange. Comment le respecter, lui, qui n’est pas foutu de se respecter lui-même ? Il y a longtemps qu’il aurait dû démissionner de son poste ! Honte à lui, le bougre !

      Pour le reste, la France a toujours su intégrer ses immigrés, notamment par le biais de l’école, qui reste, quoi qu’on en dise, et quoi qu’on fasse, le dispositif essentiel pour s’intégrer tout en s’élevant dans notre société !

      (je me dépêche, plus qu’un quart d’heure !)

    • Anne Godeau qui est pratiquement morte dans mes bras à Charonne doit se retourner dans sa tombe.

    • Sidéré de vos messages de haine !

      Begag a été appelé par Villepin, et pas par Sarkozy. Il savait où il mettait le pieds mais ne pensait pas qu’il se ferait insulter personnellement par Sarko...

      Il a commencé à l’ouvrir dès octobre 2005 et la crise des banlieues et s’est toujours ensuite retrouvé opposé à Sarkosy.

      Est-ce une raison pour démissioner ? Non, François Goulard, ministre anti sarko n’a pas démissioné non plus, François Baroin non plus.

      Ce qui vous gêne chez Begag, c’est qu’il ose regretter en public que la GAUCHE française n’ait pas été foutue de nommer des gens comme lui ministres depuis 26 ans qu’elle a été au pouvoir. Ce n’était pas la peine de faire comme Mitterrand dès 1984 et d’agiter sans cesse le drapeau rouge du vote des immigrés aux élections locales (juste pour fair monter Le Pen, et ensuite ne pas accorder ce deroit de vote) pour ne donner au final AUCUNE représentation à ces populations qui représente près de 15 % du peuple français...

      Il faut lire (je vous y encourage amicalement) le passage où Begag, qui défend le projet de loi sur l’égalité des chances à la tribune de l’Assemblée, se faire insulter par la Gauche ( PS et PC bien sûr) : il lève la tête et se rend compte qu’il est simplement en train de se faire insulter par des.......Blancs... 100 % de députés blancs à gauche en France, c’est pas génial, ça ?

      Allez, soyez plus raisonnables, tapez là où il le faut, mais ne tirez pas sur une ambulance qui a tenté de faire pendant 2 ans un boulot qu’il n’avait pas demandé et dont il pensait qu’il lui rapporterai que des emmerdes...

      Bien à tous.

      Antoine Pietrini