MEETING LYON alternative unitaire à gauche jeudi

Pour un rassemblement antilibéral de gauche et des candidatures communes

JEUDI 28 SEPTEMBRE à 20h Palais de la Mutualité
Place Antonin Jutard (Lyon 3e, métro Guillotière)

Il y a urgence !

Contact Rhône : http://www.alternative2007-rhone.org /
National : http://www.alternativeunitaire2007.org

AVEC :
– Francine BAVAY(Ecologiste)
– Hamida BENSADIA(Alternative citoyenne)
– Jean-Jacques BOISLAROUSSIE(Les Alternatifs)
– Jean-Luc CIPIÈRE (Altermondialiste)
– Olivier DARTIGOLLES(PCF)
– Claude DEBONS(Syndicaliste)
– Monique DENTAL(Féministe)
– Roseline VACHETTA(LCR)
– 
Ensemble dans les luttes...
...et dans les urnes !

29 mai 2005 : une majorité de l’électorat de gauche
se prononce pour une autre Europe, sociale,
démocratique et écologique et permet la victoire du
NON au référendum sur le Traité Constitutionnel ;

Automne 2005 : la révolte de la jeunesse de
nombreux quartiers populaires, confrontée au chômage,
à l’exclusion et aux discriminations, témoigne
de l’ampleur de sa désespérance ;

Mars/Avril 2006 : des millions de jeunes, de salariés,
de retraités... se soulèvent pour refuser la précarité
et la casse du Code du Travail et imposent le
retrait du CPE ;

Tout au long de l’été 2006 : le refus de la loi
sur l’immigration jetable et le soutien aux enfants et
familles sans papiers...
Cette volonté populaire de rompre avec les politiques libérales
exige une réponse politique à la hauteur.

Pour ne pas revivre ces alternances sans changement
qui se terminent par des désastres, comme le
21 avril 2002, il faut en finir avec les politiques libérales
dont le pays fait les frais depuis trop longtemps.
Ce que le programme actuel du Parti Socialiste
ne fait malheureusement pas.

Seules des candidatures unitaires antilibérales
de gauche aux élections présidentielles et législatives,
autour d’un projet commun, peuvent
ouvrir la voie à une authentique transformation
sociale, écologique, anti-discriminations, démocratique.
Nous refusons de voir la gauche antilibérale
se disperser lors des échéances électorales de
2007, dans une compétition dramatique et stérile.

Nous nous battons pour gagner, en finir avec les
politiques dont le pays fait les frais depuis trop
longtemps, changer en profondeur la donne
politique, bouleverser les rapports de force à
gauche en faveur de l’antilibéralisme. Néanmoins,
si nous n’accédons pas au second tour de la
présidentielle, nous nous mobiliserons pour battre la
droite et l’extrême droite. Mais nous ne participerons
pas à la mise en oeuvre d’une politique dominée par
le social-libéralisme.