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MONTPELLIER : OBAMA, LIBEREZ LES 5 CUBAINS !

Publie le dimanche 25 avril 2010 par Open-Publishing

VENDREDI 30 AVRIL de 15h à 17h30 à MONTPELLIER

1er rassemblement devant la statue de José MARTI, bd Louis Blanc, pour exiger d’Obama la libération des cinq cubains emprisonnés aux USA depuis sept 1998.

A L’APPEL DE FRANCE CUBA HÉRAULT
avec le soutien du Comité de lutte contre la barbarie et l’arbitraire, de CUBA SOLIDARITÉ, de la FASE-Languedoc-Roussillon, de la Jeunesse Communistes 34, du PCF de l’Hérault....

QUI SONT LES 5 ? Des Cubains prisonnier politiques aux Etats-Unis !

Le 12 septembre 1998, 5 Cubains ont été arrêtés aux Etats-Unis, ils ont été condamnés en décembre 2001 à de très lourdes peines de prison pour espionnage et atteinte à la sécurité nationale de ce pays. Deux d’entre eux sont nés aux Etats-Unis au sein de familles cubaines et trois à Cuba. Les 5 ont fait des études supérieures.

En réalité, ils s’étaient infiltrés dans les organisations des ultras de la contre-révolution installés à Miami qui préparent des attentats terroristes contre Cuba comme ceux réalisés durant l’été 1997 dans des établissements touristiques. Victime de ce type d’actions depuis plus de 40 ans, Cuba a compris que placer des hommes et des femmes dans les rangs des terroristes est le seul moyen véritable de protéger le pays, sa population et ceux qui nous rendent visite.

Au terme d’un procès arrêté d’avance car il avait lieu à Miami, la ville contrôlée par les ultras de la contre-révolution, alors que la défense a prouvé, y compris avec des témoignages de hauts gradés étasuniens, que nos compatriotes n’étaient en rien coupables de ce dont on les accusait, ils ont été rondement jugés et condamnés à des peine de prison allant de 15 ans à 2 détention à perpétuité plus 15 ans pour une seule et même personne.

De nombreuses lois et procédures ont été violées : ils ont été mis au secret pendant 17 mois, sans pouvoir accéder ni à leur famille ni à leurs avocats commis d’office, une forte campagne a eu lieu contre eux à Miami et on leur a refusé la demande de changement de siège du procès. Des jurés se sont récusés en avouant avoir peur des ultras. Aucune preuve tangible n’a pu être apportée contre eux. Leur faute est d’avoir défendu Cuba et d’avoir refusé de transiger sur la vérité.

Gerardo Hernandez, Ramon Labañino, Fernandez Gonzalez, René Gonzalez et Antonio Guerrero sont des PRISONNIERS POLITIQUES et nous devons obtenir, tous ensemble, leur libération.