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Quand la mort des employés rapporte (un max) aux employeurs

Publie le jeudi 13 mai 2010 par Open-Publishing
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"Se faire de l’argent grâce à la mort des employés qu’on a exploités. Fallait

y penser, ils l’ont fait." (Par CERI)

Un exemple : "Le cas de William Smith, détaillé par le Wall Street Journal en 2002, est révélateur : au Noël de 1991, pour gagner un peu plus d’argent, le jeune homme de 20 ans fait des heures supplémentaires dans une boutique de dépannage, au Texas, quand un voleur le tue par balles. Son employeur, National Convenience Stores Inc (NCS), n’avait pas contribué à la caisse d’indemnisation des travailleurs qui meurent au travail, mais avait souscrit une assurance-vie sur sa tête auprès de la banque Lloyd’s de Londres qui lui a versé 250.000$."

Un article très instructif qui explique comment les patrons américains assurent sur la vie (la mort) leurs employés (généralement sans les informer) et ont donc intérêt à leur disparition.

Les buts du jeu sont multiples : rentabilité, assurances défiscalisées, faire crever un salarié devient très intéressant et en jouant sur le stress, on peut même l’aider un peu.

Même mort, un travailleur peut générer du profit !

L’article :
http://www.agoravox.fr/tribune-libr...

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