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Quand les banquiers s’enrhument les fils d’ouvrier toussent

Publie le mardi 28 octobre 2008 par Open-Publishing

Petit billet d’humeur sans prétentions.
Je prend le clavier pour exprimer mon sentiment sur les évènements financiers qui secouent la planète.

1/ Les spéculateurs et petits rentiers de la planète s’en mettent plein les fouilles quand le marché fonctionne et que la croissance croit.Avec au passage dégraissage massif pour les entreprises ne dégageant pas 13% de bénéfices (EBITDA) c’est le dogme tout puissant du libéralisme.

2/La bourse se casse la gueule et Les spéculateurs et petits rentiers de la planète dégraissent massivement au motif que les entreprises ne peuvent continuer a produire des biens de consommation qui ne seront pas consommés., c’est du pragmatisme économique.

3/Les gens ne consomment plus parce qu’ils sont licenciés et que le pouvoir d’achat n’est plus là.

4/ l’ état crée des emplois aidés pour sauver les meubles c’est de l économie keynésienne(La nouvelle économie keynésienne est un courant de pensée économique né dans les années 1980, qui se réclame de la pensée keynésienne pour quelques idées seulement, mais s’oppose à l’intervention trop rigoureuse de l’État lorsque le marché est incapable d’assurer une situation efficace).

5/ Tout le monde pense que les chinois avec leur 2 000 000 000 000 de liquidités (deux milles milliards eh oui) vont racheter la planète.Tout le monde s’est planté car au cas ou vous ne l’auriez pas remarqué les chinois ont 1 milliard de personne à faire bouffer et leur économie est entièrement dépendante des consommateurs du reste de la planète...

6/ C’est la récession, le bâtiment se casse la gueule, les emplois, même les plus "basiques" deviennent denrées rares.

7/Ceux qui étaient milliardaires ne sont plus que millionnaires , ceux qui étaient pauvres sont encore plus pauvres...

8/LA suite à vous de l’écrire ...

Moi mon avis c’est : GREVE GENERALE accèlerons le processus virons ces cons qui nous dirigent .
Le communisme ça fait peur, mais défois le capitalisme y’en a plein le cul.(REISER)