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RENCONTRE EXCEPTIONNELLE AVEC F.ARUCA, JOURNALISTE CUBAIN RESIDENT A MIAMI

Publie le samedi 5 mai 2007 par Open-Publishing
3 commentaires

INVITATION

La Coordination de Défense de la Révolution Cubaine
et
l’Ambassade de Cuba en France

ont le plaisir de vous inviter à une rencontre exceptionnelle avec

Francisco ARUCA,

journaliste cubain résident à Miami, directeur de « Radio Progreso », spécialiste de la mafia contre-révolutionnaire de Miami et de ses rapports avec le Gouvernement des Etats-Unis, notamment avec le Parti Républicain.

Francisco Aruca fait partie des quelques journalistes courageux, qui dans le milieu très hostile de Miami, luttent contre la désinformation, parfois au péril de leur vie.

A cette occasion, vous pourrez également voir le documentaire diffusé par la Chaine Arte , en octobre 2003, intitulé « Le secret de la chauve-souris. Bacardi entre rhum et Révolution », basé sur le livre « Rhum Bacardi. CIA, Cuba et Mondialisation », écrit par le journaliste Hernando Calvo Ospina, qui sera présent parmi nous.

lundi 14 mai à 18h30
Ambassade de Cuba
16, rue de Presles 75015 Paris.

Ce sera l’occasion de manifester une fois de plus notre indignation face à la libération du terroriste Posada Carriles et dénoncer la double morale des Etats-Unis.

Messages

  • Et pourtant certains tentent de le quitter ce paradis communiste pour rejoindre l’enfer capitaliste !

    http://www.24heures.ch/pages/home/24_heures/info_express/monde/monde_detail/(contenu)/68771

    • "Et pourtant certains tentent de le quitter ce paradis communiste pour rejoindre l’enfer capitaliste !" dit le gusano anonyme.

      Le niveau zéro de la réflexion politique est dans ce premier commentaire à une invitation à dialoguer. Admirons aussi la mauvaise foi et l’imputation à son interlocuteur de propos qu’il n’a pas tenus :

      – nulle part ici, ni ailleurs, quelqu’un n’a qualifié Cuba de paradis.

      – nulle part, ici ou ailleurs, quelqu’un n’a qualifié Miami d’enfer.

      On sait bien que la disproportion du niveau de richesse de chaque côté du détroit de Floride produit un phénomène d’aspirateur qui fonctionne partout dans le monde et depuis toujours dans pareil contexte.

      On devrait savoir (pour peu que l’on veuille) que l’écrasante majorité des Cubains ayant choisi de vivre aux USA l’ont fait par des procédures d’immigration régulières. Les départs illégaux, même si l’on en parle beaucoup, sont très minoritaires.

      Les difficultés à immigrer ont également des causes extérieures : refus pour la puissance d’accueil de délivrer des visas en trop grand nombre, tri dans les qualités des postulants (diplômes, âge, casier judiciaire...). Ajoutons l’impatience de ceux qui ne veulent attendre trop de temps un visa et le va-tout de ceux qui savent que les USA ne leur en délivrera pas un, mais qui, en vertu de la loi d’ajustement cubain , ont la garantie de ne pas être refoulés s’ils posent le pied, par n’importe quel moyen, sur le sol US.

      On devrait aussi pourvoir apprendre, parce que des documents officiels US l’attestent, que Cuba n’est pas le plus fort pays d’immigration de l’Amérique latine vers les USA et que le nombre de départs tend à diminuer. La courbe au fil des ans est descendante.

      Mais il s’agit ci-dessus de faits, non d’opinion ou de condamnation hargneuse.
      Et par expérience, je sais que les ennemis français de Cuba n’acceptent ni les faits, ni les chiffres, même s’ils viennent des USA.

      Par contre, ils peuvent invoquer sans émotion ni condamnation, une prise d’otage avec de froids assassinats si cela se produit à Cuba. En France, ils désapprouvent.

      MV

    • Si mes souvenirs sont exacts, et les propos de Fidel dans le livre de Ramonet me le font penser, la révolution cubaine a triomphé aussi parce que les barbudos respectaient leurs ennemis, que les prisonniers etaient traités en êtres humains (soignés le cas échéant et libérés systématiquement.

      Tout ça pour dire que nos arguments ne sont pas plus forts parce qu’on y ajoute l’insulte en détail ou en gros (ce qui rend trop souvent ce site désagréable à consulter).

      Déjà qu’un internaute tombe par hasard ou pas sur le site bellaciao, qu’il y reste suffisamment pour lire une obscure info quelconque et se donne la peine d’y répondre, c’est déjà ça de gagné.
      Trop souvent au lieu de s’en réjouir et démonter ses arguments, lui donner les infos qui lui manquent pour qu’il change d’avis, on l’assomme d’insultes gratuites, inutiles et contre-productives pour tous.

      Sous peu, on va prendre conscience d’être dans le même camp (au figuré et peut-être même au propre), alors si on veut avancer, faudra aussi apprendre à échanger, parler, convaincre...

      A part ça, ok on se voit lundi 12 si on se reconnait, je pense savoir qui est MV mais pour un surfeur occasionel, c’est aussi anonyme que l’autre...

      alfare