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RETRAIT DU PROJET GOUVERNEMENTAL SUR LES RETRAITES ?
Publie le jeudi 26 août 2010 par Open-Publishing12 commentaires
Juste pour lancer le débat sur ce thème !
Parce que le projet de la droite, ou bien on le refuse, ou bien on se contente de vouloir l’amender, et à la marge.
Messages
1. RETRAIT DU PROJET GOUVERNEMENTAL SUR LES RETRAITES ?, 26 août 2010, 08:49, par momo11
Finalement,le mieux serait que cette droite anti-sociale subisse la retraite de "russie"..........momo11
1. RETRAIT DU PROJET GOUVERNEMENTAL SUR LES RETRAITES ?, 27 août 2010, 13:29, par lucjry
Quand je pense à mes quatre s semaines de grèves en 68
A nos revendications ;
35,35, 35.....
qui étaient déjà celles de nos camarades de 36
Quand je penses à mes amies, ceux de ma famille et tous ceux qui sont morts , mais qui ont permis la création de la sécurité social dont tous bénéficies
Mais qu’attendent t ils tous ces bénéficiaires de 36, 45, 68
pour se mettre simplement en GRÉVE..... disons QUINZE JOURS ;
; au lieu de manifester, sans risques pour leurs portefeuilles , ni... tonfas ou lacrymos
VOUS ÊTES MOUS.... ou trouillard
pensez à ceux qui vous ont obtenues tout ce que vous avez
et sans parler des avortements sur nos tables de cuisines en 74.... pour gagner le droit à l’avortement ... et la reconnaissance des planning familiaux.... etc
2. RETRAIT DU PROJET GOUVERNEMENTAL SUR LES RETRAITES ?, 26 août 2010, 09:27
Retrait, évidemment !...Les autres, ces ronds-de-cuir syndicaux qui pensent qu’à négocier, ça me dégoute !
1. RETRAIT DU PROJET GOUVERNEMENTAL SUR LES RETRAITES ?, 26 août 2010, 09:44
Tu as raison sur un point il faut que ce projet disparaisse mais par contre, à mon avis, il faut aussi imposer les solutions proposés par la CGT : changer
l’assiette des cotisations patronale, cotiser sur tous les revenus hors salaire (actions, primes etc....) taxer tous les revenus financier etc.... et pour cela il faudra bien finir par négocier avec nos adversaires de classe mais dans le cadre d’un rapport de force qui nous soit favorable.
JP
2. RETRAIT DU PROJET GOUVERNEMENTAL SUR LES RETRAITES ?, 26 août 2010, 11:30
Ca fait dix ans qu’on négocie et qu’on perd sur tout ! Ca fait deux ans que les gens attendent que les Conf amplifient et prolongent. Mais non, Thibault, Chérèque et Mailly veulent qu’on fasse la seule chose intérssante et qui changerait tout, qui dénoueraient toutes ces réformes entrelacées, un gros BOUM ! Une grève générale, interpros. Xavier Mathieu dit pas autre chose.
Non, pour Chérèque c’est certain ce type à négocié déjà son poste, sa petite structure qui va tout de suite avoir des gros clients, comme Notat.
Mais Thibault, il est en train d’écraser tout simplement la force de révolte et de renversement de l’ordre établi qu’avaient la CGT. Pareil pour Mailly, sauf que FO a toujours été un syndicat plus syndicaliste, même si la base veut la même chose que la base CGT : détruire la machine à réformes.
On va encore dans le mur avec les trois compères. C’est inadmissible ! Ces types sont vendus, je ne vois pas d’autres solutions. Et ceux des CN se couchent pour une commision, un bon poste de permanent, pour participer à des réunions avec "l’élite". Ils se croient parvenu au sommet, mais ils ne sont qu’au sommet de leur renoncement.
Grève générale, nom de dieu !
3. RETRAIT DU PROJET GOUVERNEMENTAL SUR LES RETRAITES ?, 26 août 2010, 16:49
Tiens,revoilà 79***1 avec sa rengaine de pseudo révolutionnaire mais qui "oublie",comme par hasard,de se bouger pour le 7 Septembre.
" sauf que FO a toujours été un syndicat plus syndicaliste"...
Ha bon ! en voilà un de scoop ! depuis la création de FO avec l’aide de la CIA en 1947,j’avais pas remarqué que cette organisation était à la pointe du combat syndical.
FO et LO avec Arlette ( et d’autres ) un pied dans chaque boutique,Le "gauche" à LO pour hurler grève générale,et le "droit" à FO pour signer toutes les saloperies du patronat et du gouvernement.
" la grève générale nom de dieu "
Dans ta diatribe il ne manquait que dieu,ça c’est fait,reposes-toi il s’occupera de la grève générale.
Amen !
4. RETRAIT DU PROJET GOUVERNEMENTAL SUR LES RETRAITES ?, 26 août 2010, 20:42
Je vois que ma prose t’as pas laissé indifférent. T’es même un peu irrité, mon gardien de la révolution...Pour te calmer les nerfs, tu sautes mes posts, j’en mourrai pas.
Un peu daté tes références, un peu rengaine ton coup de pied de l’âne à FO. C’est tellement bon de s’éclater à casser le syndicat d’en face, ou plutôt les syndicats d’en face, comme dans le bon vieux temps, hein, mon poulet-frites...
Le temps que tu dépoussières tes bribes de pensée et nettoie tes lunettes, j’ai bien peur que la manif ne te passe sous le nez...Mais moi j’y serai et je gueulerai pour toi, t’inquiètes. Devine quoi ?...
3. RETRAIT DU PROJET GOUVERNEMENTAL SUR LES RETRAITES ?, 26 août 2010, 09:45, par zef
Tous dans le rue le 7 (pour faire en sorte que ce projet finisse à la poubelle) !
4. RETRAIT DU PROJET GOUVERNEMENTAL SUR LES RETRAITES ?, 26 août 2010, 23:20, par willi 91
Pour mémoire : Contre réforme des retraites de 2003.
CFDT : signe des deux mains .
FO :appelle à la grève générale interprofessionnelle .
CGT : discours de Marseille de Thibault refusant la grève générale et la lutte s’est éteinte ...
5. RETRAIT DU PROJET GOUVERNEMENTAL SUR LES RETRAITES ?, 27 août 2010, 00:46, par Max
Edito de la Voix des travailleurs du 28 08 2010
Le 7 septembre et les retraites : Suffit-il de nous promener derrières les centrales ?
Toutes les directions syndicales, des associations, les partis de gauche et d’extrême gauche nous tiennent tous le même discours : ce qui compte le 7 septembre, c’est le nombre. Il faudra être des millions en grève et dans la rue. Mais, désolé de devoir le rappeler, ce qui manque aujourd’hui à la classe ouvrière ce n’est pas de répondre nombreux à des appels pour des journées d’actions syndicales : cela s’est vu en 2009 et même plusieurs fois de suite… sans succès. Ce qui manque, c’est une claire conscience des enjeux, c’est-à-dire des buts des classes dirigeantes et des objectifs et moyens de la classe ouvrière pour y répondre.
Tel n’est pas le problème de ces organisations qui se revendiquent pourtant de nous, travailleurs. Les centrales syndicales cherchent seulement à conserver leur crédit pour mieux revenir autour de la table de négociation et être reconnus des gouvernants. Mais notre avenir gravement menacé est bien loin de tels intérêts de boutique. Pour les partis de gauche, il s’agit d’abord et avant tout de nous préparer à bien voter à l’élection présidentielle. C’est dans ce but qu’ils présentent l’attaque actuelle comme une lubie propre à Sarkozy et à la droite française, alors que l’on constate la même attaque de la part des classes dirigeantes de toute l’Europe. Quant à l’extrême gauche, sans illusion sur la politique des centrales, elle se garde d’en parler, espérant que, malgré les calculs des dirigeants syndicaux, l’ampleur de la grève pourrait « redonner le moral » aux travailleurs.
Mais lutter ainsi, en aveugles, est-ce bon pour le moral ? Est-ce bon pour engranger des victoires et, ainsi, prendre conscience de notre force réelle ou de la faiblesse réelle aussi des classes dirigeantes ? La première des questions n’est-elle pas : comment se fait-il qu’un gouvernement incapable de lutter pour l’emploi, pour les salaires, capable seulement de distribuer l’argent de nos impôts aux banquiers et autres capitalistes, un gouvernement peu populaire, assez discrédité même, déjà isolé, ayant besoin de se raccrocher à des opérations dégoûtantes comme les rafles de Roms, soit encore capable de mener une des attaques les plus ouvertement antisociales de ces dernières années ? Et quel intérêt peut-il trouver à cette opération ?
Sa force n’est certainement pas dans ses arguments. Faire travailler les salariés jusqu’à 62 ans – et même 67 pour une retraite à taux plein ! – au moment où la plupart des salariés ne parviennent pas à se maintenir dans un emploi jusqu’à 60 ans, faire travailler des seniors alors que les jeunes ne trouvent aucun emploi fixe, parler de problème démographique alors que chacun sait qu’il s’agit d’une politique de rigueur, tout cela devrait encore affaiblir l’attaque gouvernementale. Et pourtant…
Sa force pour agir ainsi ne provient-elle pas justement des démonstrations syndicales de ces dernières années ? Car, depuis les journées débutées en janvier 2009 puis mars, etc…, n’a-t-on pas vu les mêmes centrales syndicales incapables de faire face à des vagues de licenciements, au blocage des salaires, aux attaques sur les services publics… Loin de développer l’organisation de la lutte, la conscience des travailleurs dans leurs capacités, n’ont-elles pas développé, à tort, la croyance de la fatalité des attaques et la confiance en eux-mêmes des classes dirigeantes ?
Pour le gouvernement, il ne s’agit pas d’un objectif politicien : une telle politique ne peut rien pour le rendre plus populaire en vue des élections. Il s’agit donc de défendre les intérêts de la classe capitaliste et pas seulement celui de l’UMP et de la droite. En cassant les retraites, le gouvernement mise sur leur privatisation par les fonds de pension offrant des milliards aux financiers affamés qui craignent de rechuter dans la crise. C’est la suite de la casse des services publics qui vise, en les discréditant, à mieux les offrir au privé qu’il s’agisse de la santé, des transports, de l’énergie, de la poste ou des télécommunications. Et même de l’enseignement. La retraite au cimetière n’a pas d’autre but que d’obliger la population à se payer des retraites privées. C’est la suite des centaines de milliards déversés depuis 2008 aux capitalistes pour sauver le système. Il n’est toujours pas sauvé !
C’est une fuite en avant. Elle est causée par la débâcle économique du système. Cela ne veut pas dire qu’elle est justifiée. Elle l’est pour les classes dirigeantes. Le bateau prend l’eau et on jette du lest : les travailleurs et les milieux populaires en l’occurrence. C’est un tonneau sans fond des besoins de la finance aux abois que le gouvernement ne cesse de remplir. Nos retraites n’y suffiraient pas pour sauver les capitalistes de la nouvelle crise qui approche inexorablement.
C’est dans cette situation qu’il faut comprendre cette « mobilisation » syndicale pour les retraites… Loin de faire partie d’une contre-offensive ouvrière, elle est la suite (pour tous qui parlent sans cesse de « suite » des journées syndicales) de l’organisation pré-programmée des défaites passées. Et cela pour une raison de fond : ce que contestent les directions syndicales et politiques, ce n’est nullement le droit du capital à diriger la société.
Que faudrait-il faire pour qu’il en soit autrement ? Il faudrait d’abord que partout, sur les lieux de travail, dans les quartiers, comme lors des rassemblements les salariés discutent entre eux… L’heure est grave. Notre avenir, et celui de nos enfants, est menacé. C’est à nous de réfléchir et de proposer. Cela signifie avancer nous-mêmes les mots d’ordre, les revendications des banderoles, des panneaux, des tracts, ne pas nous contenter de suivre les dirigeants. Ceux des syndicalistes qui sont véritablement soucieux des intérêts de leur classe ne pourraient qu’en être satisfaits. Ils ne tiennent pas à un monopole de parole dans les AG et dans les tracts. Une telle organisation signifierait déjà pour la classe dirigeante que les travailleurs se mettent en ordre de bataille. Elle voudrait dire que l’entreprise redevient un lieu de développement d’une force ouvrière comme en 36 ou en 68 et, en plus, que, contrairement à ces deux grands mouvements, les travailleurs risquent de décider eux-mêmes d’en finir avec la domination de système pourri.
Car il y a une alternative. Soit on ne construit pas un vrai rapport de forces et on va sombrer avec le bateau. Soit on construit un vrai rapport de forces et alors nous n’avons aucune raison de nous en tenir à remettre sur le papier les 60 ans officiels de la retraite. Des travailleurs mobilisés ensemble dans tout le pays peuvent faire bien plus et faire ravaler toutes les autres mesures antisociales de ces dernières années, se lier aux paysans, artisans, retraités, chômeurs ruinés en faisant payer les financiers et autres capitalistes. C’est ou eux ou nous !
Site http://www.matierevolution.fr/
6. RETRAIT DU PROJET GOUVERNEMENTAL SUR LES RETRAITES ?, 27 août 2010, 10:07, par Alain Chancogne
Sur cette rentrée sociale, je suis un peu ennuyé de la tonalité de certaines interventions qui se veulent "maximalistes" et sont, pour certaines, la nième distribution de slogans creux dont on sent bien que l’essentiel de la motivation c’est de se "faire" les Syndicats, surtout la CGT, ne nous mentons pas..
De 1945 à 2010 en passant par 68 et 95, les paroles et la musique ont de ces similitudes...
Moi aussi, je peux jouer à ça..
:)
Juste pour les plus révolutionnaires de Bella Ciao, je rappellerai à qui bouffe du syndicat à chaque petit dej, juste un remarque pour doper un peu l’anticégétisme primaire (à ne pas confondre avec la lutte dans la CGT pour un syndicalisme de LDC sans compromission en tandem avec Chérèque)
Il n’est jamais inutile , surtout quand on prétend donner des leçons, et pendre la bureaucratie, que toute proposition qui ne veille pas à s’inscrire dans un rappel de la finalité d’abolition du salariat est une simple mesurette de rafistolage du Capitalisme : par exemple la taxation des revenus du Capital..Ben oui, si on taxe sans dire qu’on veut exproprier, on n’est pas -de façon objective-plus revolutionnaire que Thibault ou Mailly ..
Alors retrait , renégociation, ça vous rappelle pas le CPE passé à la poubelle ?
Pas parce que le fils de sa Moman maire PS (lui même depuis apparatchik socialiste), qui dirigeait l’UNEF aurait "gauchi" la phrase, mais parce que lycéens étudiants, parents et travailleurs sont passés de 200000 à deux millions !
Que, même de façon parfois brouillonne, la démocratie, les AG ont autogéré cette grande LUTTE victorieuse.
Maintenant que je me suis démarqué des "réformistes de gôche" qui s’en prennent à la tiédeur du mouvement syndical , y compris au plaisantin qui fait de FO le modèle de structure de radicalité (oubliant que le verbiage de quelques apparatchiks de l’ex PT a toujours couvert l’anticommunisme originel et la capitulation dans les bureaux des directions et des ministères, le partage de gestion des caisses de la" solidarité" avec le MEDEF ,) je m’autorise une remarque moins "provo" :( oui.. j’avoue avoir dégainé un peu lourdement volontairement ci dessus, , fatigué de l’onanisme dans la LDC et des slogans creux et ronflants et de la mitrailleuse lourde anti Montreuil..)
L’auteur pose le 7 dans des termes qu’il souhaite voir débattre :
Je ne suis pas pour la sodomisation des coléoptères en permanence..
le 7 pour moi, c’est beaucoup plus "simple".
..Ou on réussit à mettre en mouvement des masses qui seront plus nombreuses encore qu’en mai-juin pour que la RUE oblige les JT du 20h à titrer"l Réforme des retraites : C’est mal parti pour le Pouvoir".
Ou bien , les perroquets de la bourgeoisie lecteurs de prompteurs, auront la possibilité d’ouvrir les infos" sur :" Retraites : lUne mobilisation en demi teinte." "
C’est AVANT TOUT, , d’après moi, cela qui fera que dans les masses, nous pourrons "pousser" pour continuer le combat afin de GAGNER, rendant les ’intersyndicales qui suivront le 7 autrement moins "simple" pour Thibault Chérèque ..qu’en janvier
Se focaliser sur "retrait" ou "pas retrait" c’est je le crois, passer à côté de l’enjeu du 7.
C’est un moment ou dans les cortèges nous entendrons davantage parler de "Y en plein l’cul de tout ce que ces enfoirés nous pondent pour nous pourir la vie et s’empiffrer entre milliardaires" que de la place exacte de telle revendication commune des Orgas....
C’est cela , pour moi, l’ESSENTIEL de ce qui comptera le 7.
Je vais pas me balader dans la manif bordelaise en courant après chaque membre del’UD CGT pour faire le procès de telle ou telle insuffisance de telle ou telle pancarte
.Je fais la mienne ,genre :" ça commence à faire : le Capitalisme à la RETRAITE"..
J’ai pas fini de faire des bises et des accolades à des copines et copains ...surtout celles et ceux qui je ne revoyais plus. depuis des années dans les cortèges....
.Surtout en laissant trainer mon oreille parmi les jeunes.
.
Surtout parce que, privilège de l’âge(putain quelle consolation) ! mais aussi pour cause de "respect de ceux qui luttent vis à vis des"vieux lutteurs" ..je suis certain que c’est la question " alain tu crois qu’ils vont lâcher ?" , qui me sera posée plus que "C’est retrait ou autre mot qu’il faut choisir"..
Nous avons tendance à oublier qu’a part le CPE, nous n’avons aucune victoire significative sur le K à nous mettre dans la gibecière depuis bientôt tente ans !"
Nous avons tendance à oublier un triste constat : : alors que JAMAIS le Capitalisme n’avait frappé aussi FORT sur une décennie, les journées de grève de 2009 étaient, en nombre, les moins nombreuses depuis ....1952.
Pas que pour cause de trahisons d’Etats majors, mes camarades..Sinon Thibault ne sera pas à nouveau sec- gen’ de la CGT depuis peu..
C’est que, malgré le courage de beaucoup de militants, il faut reconnaitre que nous venons d’assis ter à au moins trois décennies d’incroyable recul de la conscience de classe
Chaque temps" T "de la mobilisation" M "de la classe ouvrière, chaque occasion de faire bouger le curseur K/ Travail en notre faveur, chaque bain de foule en long cortège qui prend son pied de se sentir nombreuse et déterminée , ça ne se prépare pas en instruisant le procès de Thibault...
Si je peux me permettre de dire cela c’est que ma condamnation de la ligne confédérale est publique et va plus loin que ce que je lis parfois ici.
. Au 49°congrès, pardon de me citer(1), ma" tribune" a davantage dérangé que les insultes de mon camarade de CONTI, .dont j’ai été et reste totalement solidaire avec mon coeur et mes tripes(.Ce qui ne m’a pas empêché de lui faire savoir qu’il ne se rendait pas comptes qu’il servait à dresser autour de la Direction confédérale un réflexe de"Touche pas à not’ Bernard et à not ’CGT..")
Moi, je fais pas ce genre de cadeau à Woerth Soubie et Sarko et à ceux qui seraient tentés de sortir le stylo de capitulation.
Tout ceci dit sans prétention de "donneur de leçons" mais, on excusera ma franchise , un peu géné quand même que Thibault-qui ne demande que ça !- soit plus épinglé sur BC que la mère Parisot..
Le7 ne sera, de toutes façons pas ce qu’il devrait être , , certes avec des responsabilités énormes des ’appareils-mais pas que pour cela ; mille fois hélas !
Alors que ceux qui s’égosillent en hurlant"GREVE GENERALE nom de dieu" tout en touyant leur café et en tapotant sur l’ordi, reviennent un peu à quelques lectures, réflexions et CONTACTS de ’vrai VIE"
Pour ne pas se raconter d’histoires qui vont les laisser ensuite amers et déçus..
Pour ne pas nous en raconter trop, , non plus......
....
Pour , volontairement ou pas, ne pas préparer le 7 sur BC dans un concert de pleurs et lamentations anti syndicales..
Un Rapport de FORCES ne peut pas se construire en venant tous les matins au rapport pour réciter les des faiblesses...
AC
(1) pour éviter qu’on me traite de garde du corps de BT
http://www.congres49.cgt.fr/?page=discussion&id_thread=132
du 9Octobre 2009
7. RETRAIT DU PROJET GOUVERNEMENTAL SUR LES RETRAITES ?, 27 août 2010, 10:13
Le sections locales et départementales doivent, comme en 2003, envoyer un message très clair à leur secrétaire confédéral, AVANT la manif du 7, pour imposer un vote sur la grève générale et reconductible.
Car au point où en sont Thibault et Mailly, d’un côté le vendu à la CES, le préposé au portable de Sarko et de l’autre le diviseur, le réformiste piteux et péteux prônant le retrait pour se retirer de l’unité syndicale, il faut les mettre au pied du mur. Ca commence par imposer une discussion et un motion pour la grève générale dans les sections.
Pareil pour la CFDT, quoique le boulot est rendu incomparablement plus difficile par le traître Chérèque.