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Vers une semaine decisive en Tunisie
Publie le dimanche 23 janvier 2011 par Open-Publishing12 commentaires
Vers une semaine decisive en Tunisie,malgré le couvre feu toujours en vigueur
La « Caravane de la libération » est arrivée à Tunis
Par lefigaro.fr
23/01/2011 | Mise à jour : 09:16
Près d’un millier d’habitants venus du centre du pays sont arrivés dimanche matin dans la capitale pour dénoncer la présence d’anciens ministres de Ben Ali dans le gouvernement. A Tunis, les policiers ont pour la première fois participé aux manifestations populaires samedi.
Une semaine après la chute de Ben Ali, la soif de renouveau des Tunisiens ne se tarit pas. Près d’un millier d’habitants venus du centre-ouest du pays, d’où est partie la « révolution du jasmin », sont arrivés dimanche matin à Tunis après avoir pris la route samedi matin. Se présentant comme « la Caravane de la libération », ils veulent obtenir le départ des anciens ministres de Ben Ali, présents dans le très contesté gouvernement de transition de Mohammed Ghannouchi. Samedi matin, ils étaient 300 à quitter Menzel Bouzaiane, à 280 km au sud de la capitale. Rejoints en chemin par d’autres manifestants, ils étaient environ 800 dans la soirée. A leur arrivée à Tunis, après avoir alterné pendant la nuit marche et trajets en véhicules, ils étéaient près d’un millier. Un syndicaliste qui participe à la marche, Mohamed Fadhel, a même avancé le chiffre de 2.500. « Nous sommes venus de Menzel Bouzaiane, de Sidi Bouzib, de Regueb pour faire tomber les derniers restes de la dictature », a expliqué un vieil homme drapé dans un drapeau tunisien.
Le premier ministre a pourtant multiplié les gages. Mohammed Ghannouchi a assuré qu’il prendrait sa retraite politique après la transition et a supprimé « l’autorisation préalable » à laquelle étaient soumises les importations de livres, revues, films, tenant ainsi la promesse d’oeuvrer à « liberté totale de l’information ». Cependant, la défiance envers le nouveau cabinet ne faiblit pas. Alors que la rentrée des classes dans les écoles primaires, fermées depuis le 10 janvier, doit se faire lundi, l’Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT) a appelé les instituteurs à rejoindre la contestation par une grève illimitée jusqu’à « la dissolution du gouvernement ». L’UGTT est à la pointe de la contestation de la nouvelle équipe gouvernementale. En début de semaine, ses trois ministres ont été les premiers à se retirer de l’équipe de Mohammed Ghannouchi.
A Tunis, qui célèbre un deuxième et avant-dernier jour de deuil national, les manifestations contre le gouvernement comme et pour de meilleures conditions salariales se poursuivent . Pour la première fois, des policiers en civil ou en uniforme ont pris part aux cortèges pour réclamer un syndicat de police mais aussi pour se faire pardonner par la population la sanglante répression de la « révolution du jasmin ». « Policiers opprimés, policiers sacrifiés », ont-ils lancé. La manifestation s’est tenue devant le siège l’Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT) où ces mêmes policiers empêchaient, il y a encore quelques jours, le départ des manifestations .
« Crier notre colère »
Mais depuis la chute de l’ancien président Zine El-Abidine Ben Ali, le 14 janvier, les choses ont changé. Aucun signe d’animosité de la part des militants syndicalistes qui se faisaient allégrement tabasser par la police il y a une dizaine de jours. Au contraire, tout le monde a fraternisé dans la cohue. Longtemps considérés comme les yeux et les bras du système de surveillance et de répression mis en place par Ben Ali, les membres des forces de l’ordre avaient été conspués par la foule ces derniers jours pour leur rôle dans la répression des manifestations qui ont fait une centaine de morts selon l’ONU. « Y’en a marre de recevoir les ordres et pour une fois on veut crier notre colère », dit un policier qui comme ses collègues ne veut pas être identifié. « Les policiers sont des Tunisiens comme les autres », renchérit un autre. « On a eu 50 morts et pas de funérailles officielles » comme celles organisées pour trois soldats morts à Bizerte (dans le nord du pays) qui ont eu droit aux honneurs militaires, assure-t-il. Officiellement, seuls huit policiers sont morts pendant les violences qui ont éclaté à la mi-décembre dans le centre de la Tunisie.
Si la plupart des policiers ont défilé en civil, d’autres ont conservé leur uniforme. Beaucoup de ceux qui ne participaient à la manifestation ont porté des brassards rouges pour dire leur solidarité avec leurs collègues, tout en continuant à maintenir l’ordre dans la rue. La contestation dans les rangs de la police, dont les effectifs atteindraient les 100.000 hommes, est partie vendredi. Le ministre de l’Intérieur Ahmed Friaa a affirmé au même moment que « la police n’est pas l’ennemie du peuple ».« La police est là pour protéger (les citoyens) », a-t-il affirmé. Samedi, une centaine de policiers se proclamant « victimes » de l’ancien régime ont aussi défilé à Sidi Bouzid où la contestation a débuté il y a cinq semaines, quand un jeune marchand de fruits, Mohammed Bouazizi s’était immolé par le feu après avoir été giflé par une policière.
Marche sur Tunis : arrivée d’un millier de manifestants venus du centre du pays
....."Le peuple vient faire tomber le gouvernement", scandaient des manifestants, parmi lesquels de nombreux jeunes, partis samedi du centre du pays et qui ont rejoint la capitale en alternant marche et trajets en véhicules, au sein d’un convoi hétéroclite baptisé "caravane de la libération".
"Nous sommes venus de Menzel Bouzaiane, de Sidi Bouzid, de Regueb pour faire tomber les derniers restes de la dictature", a expliqué un vieil homme drapé dans un drapeau tunisien, Mohammed Layani.
Il énumérait ainsi les principaux foyers de contestation du centre-ouest frondeur et déshérité, en première ligne lors de la "révolution du jasmin" qui a provoqué le 14 janvier la chute du président déchu Zine El Abidine Ben Ali.
Arrivés dans le centre de Tunis vers 07H30, les manifestants ont remonté l’avenue Habib Bourguiba, artère centrale et symbolique de la ville où se déroulent des manifestations quotidiennes, avant de s’installer pour un sit-in devant le ministère de l’Intérieur, où ils ont déployé un vaste portrait de Mohammed Bouazizi.
Ce jeune vendeur de fruits s’était immolé par le feu le 17 décembre à Sidi Bouzid (centre-ouest), déclenchant les premiers mouvements de révolte qui allaient aboutir près d’un mois plus tard à la chute du régime.....
.......Avant d’arriver en centre-ville, les manifestants étaient suivis d’un convoi hétéroclite de camions, voitures, motos, camionnettes.
Cette manifestation, selon des témoignages, a été organisée de manière spontanée par des jeunes de la région. Des syndicalistes et des militants des droits de l’homme ont décidé de se joindre à leur mouvement.
23 janvier 2011 08h38
http://www.romandie.com/infos/News2/110123073824.cm5jnn56.asp
Calendrier a venir :
Debut lundi de la greve generale illimitée des enseignants......avant la rentrée scolaire prevue a partir de mardi...
Messages
1. Vers une semaine decisive en Tunisie, 23 janvier 2011, 10:22
Tunisie : au 36e jour de la révolution !
La Commission Administrative du syndicat ouvrier UGTT, vient de clore ses travaux à Tunis, il y a quelques minutes.
Nous avions un peu d’appréhension, de peur que le courant droitier, regroupé autour du Secrétaire Général A. Jrad ne réussisse à infléchir la décision de la Commission Administrative vers un revirement par rapport aux décisions de la dernière CA. Celle-ci avait en effet décidé de sortir du gouvernement de M. Ghannouchi, etc…
Par ailleurs, place Med Ali où se trouve le siège de l’UGTT des centaines de syndicalistes se sont rassemblés pour scander « JRAD DÉGAGE » ! En effet, A. Jrad a toujours été un allié de Ben Ali jusqu’à sa chute le 14 janvier dernier.
Bref, voici les décisions de la CA du 21 janvier 2011 :
— Maintien de toutes les décisions du précédent CA ;
— Appel à des manifestations et des grèves ;
— Invite les partis politiques, les associations et les différents conseils (justice, avocats, journalistes…) à se réunir avec l’UGTT à partir de demain, en vue de constituer UN GOUVERNEMENT DE LA RÉVOLUTION, enfin le nom importe peu…
Autrement dit, vous l’avez tous compris, la révolution va se donner la chose qui lui manquait cruellement, et à défaut de mieux, un organe politique.
Fathi Chamkhi (courriel), 21 janvier - 16h23.
http://juralibertaire.over-blog.com/
1. Vers une semaine decisive en Tunisie, 23 janvier 2011, 10:28, par kounet
excellent ! Continuez à faire très attention .
2. Vers une semaine decisive en Tunisie, 23 janvier 2011, 15:29, par Copas
Ce qui pourrait se traduire par :
"tout le pouvoir à l’UGTT démocratisée, pour la satisfaction de intégralité des revendications sociales, pour l’intégralité des libertés individuelles et collectives, pour le pouvoir des travailleurs dans les entreprises en remplacement des dirigeants maffieux et benalistes, pour la dissolution des forces policières et la ré-embauche au cas par cas des policiers après enquête et suivant les objectifs particuliers du pouvoir des travailleurs, ..."
En ce moment de très nombreuses clameurs montent de tous les médias bourgeois notamment en France (et du gouvernement Obama) pour dire qu’il faut être raisonnable et ne pas aller trop loin. Bref épurer sans épurer, tout en laissant aux affaires les artisans du malheur des Tunisiens.
Allez hop ! un gouvernement des travailleurs ! un gouvernement de l’UGTT !
3. Vers une semaine decisive en Tunisie, 23 janvier 2011, 18:58, par Alain Chancogne
@copas
C’est pas simple à suivred’ici et donc comme tout le monde je n’ai qu’une "impression"
La foule grossit pour demander que le gouvernement fantoche plie bagage , le Secrétaire des Enseignants UGTT rentre au Gouvernement comme ministre de l’ Education
Nationale !!
A la veille de la Grêve dans le primaire et en pleine effervescence prometteuse dans l’université..
Il fait partie avec d’autres -et sous la pression à la fois des impérialistes et néo-colonialistes et autres forces du Capital, de ceux qui prétendent même qu’on peut "démocratiser" avec , en place, les structures du Parti de Ben Ali..
C’est ce qui s’est fait(même si la comparaison peut sembler difficile) avec , à la mort de Franco le" blanchiement" de tout le linge sale franquiste re-convertu dans le parti actuel d’AZNAR..
Je ne vois pas trop comment cette UGTT..pourrait avoir un rôle de transition..et donc sur critères de"classe"..en ayant le Pouvoir..
C’est pas un peu comme si on pensait, en France que le socialisme c’est avec un gouvernement des"travailleurs"..ou Chérèque etThibault pilotés par Monks se "chargeraient" de la Révolution ?
J’avoue patauger sur ce dossier..
Je comprends certes que les Ricains ont vite fait en sorte que Ben Ali se casse avant une expérience à la Fidel Castro en 1959.., que la bourgeoisie tunisienne et les monopoles ont compris que l’enjeu de "contagion démocratique" est décisif dans tout le monde arabe.
.Mais autant je comprends qu’on soutienne les initiatives de Comités de quartiers qui se propagent..autant cette affaire UGTT-pouvoir des travailleurs" je vois mal..
J’ai bien lu que tu précises "démocratisée"..
N’est on pas là dans le "vieux" shéma (?) du syndicat ayant je ne sais quelle fonction politique ..?
Je ne "sens" pas cette UGTT qui a été un pilier d’anticommunisme , adhérant à la CISL..et qui sur son site nous parle de "Droit de Grêve garanti par la Constitution".(sic) , je ne la vois pas pouvoir servir de forme organisée de soutien, d’incarnation révolutionnaire
Je peux me gourrer complètement.
De plus je sais que c’est pas de Bordeaux qu’on peut avoir la prétention de "donner des recettes"..à un peuple en lutte !!
Cordialement
AC
4. Vers une semaine decisive en Tunisie, 23 janvier 2011, 22:49, par Copas
quand un syndicat unique, seule organisation existante en Tunisie, toutes catégories confondues (sauf l’appareil d’état) totalement organisation de travailleurs, avec une direction qui a trempé dans le ben Alisme, effectue un virage sur l’aile passant d’envoyer 3 représentants dans un gouvernement benaliste à un refus de reconnaitre le gouvernement , c’est qu’il se passe un évènement considérable.
Les termes sont forts, ne pas reconnaitre un gouvernement c’est autre chose que de le dénoncer, ça veut dire qu’on considère que ce gouvernement n’est qu’une bande à caillasser dans la rue, sans légitimité.
Cette évolution vient de la fusion dans le mouvement des syndicalistes et des jeunes prolétaires , partout ou presque, qui a remonté en une pression considérable sur cette organisation.
Ca veut dire également que les syndicalistes de l’UGTT dans beaucoup d’endroits dés l’origine dans ce mouvement ont du se péter la cheville à force de donner des coups de pied au cul à la faction de la direction qui était benaliste.
et que ce souffle est de plus en plus fort
dés lors c’est soit un gouvernement d’union nationale bourgeoise avec des forces introuvables qui ne se retrouveront donc qu’autour des restes fonctionnels de l’appareil d’état, soit autour des seuls qui ont des comptes à rendre au prolétariat moderne seul protagoniste de taille dans cette révolution
(t’es chiant AC, à chaque fois il faut reprendre par le début l’explication alors qu’il se passe un évènement qui peut avoir d’immenses conséquences en Méditerranée sud, nord, et Est (et ça l’a déjà avec la déflagration extremement violente qu’il y a eut à Tirana, rare de rage populaire).)
Ca ne signifie aucune croyance envers l’UGTT, sa direction, mais c’est un peu comme si la CGT se trouvait syndicat unique avec 6 millions d’adhérents, qu’il y a une dictature qui tombe sous les assauts des prolétaires déchainés, qu’il n’y a plus que deux partis face à face, la CGT et un morceau de l’appareil d’état encore fonctionnel, une bourgeoisie dévissée et ayant peur de se faire fracasser et pas de partis autres que groupusculaires
Dans cette affaire je pense qu’un gouvernement d’un syndicat de travailleurs serait un coup de tonnerre en méditerranée, et en premier lieu au Maghreb. Aussi vermoulue soit la direction de ce syndicat.
je sais que bordeaux c’est loin, plutôt intéressé par un gouvernement de travailleurs sur la City, mais au milieu de dizaines de nationalités je ne ressens pas les mêmes attachements, c’est comme ça.
la méditerranée est notre mère (mer).
sarkoland a son euro-méditerranée avec ses caniches qui allaient entonner la marseillaise sur le perron de l’ambassade de France au Liban pour accompagner une revue impérialiste du petit, ses bons amis roitelets et dictateurs corrompus,
nous nous avons nos amis et nos frères, nos soeurs, sur toutes les côtes, c’est ainsi.
Ce qui se passe est un enchainement de circonstances qui place des organisations là par l’histoire, la révolution se saisit de ces chevaux pour aller plus loin, tout autant que le peuple albanais s’est saisi d’une manif du PS du dit pays pour se jeter au devant de la mitraille, c’est comme ça.
C’est le prolétariat moderne tunisien qui pour l’instant jète les dés, il est aussi important en proportion que celui de France en Mai 68, il est en plus beaucoup plus instruit que nous n’étions.
C’est l’évolution formidable du monde actuel qui fait que des pays sont maintenant transfigurés par l’essor des forces productives. Le maghreb est composé de pays différents, mais ils sont maintenant réunis par l’essor d’un prolétariat moderne sur-puissant numériquement et instruit.
C’est en cela que la révolution tunisienne qui se joue chaque jour est importante pour tout le monde.
la formule gouvernementale est actuellement celle-là, elle ne se conçoit pas sans la bataille sur les contenus et sans garder ouvert le torrent de l’auto-organisation progressive qui saisit une partie de la jeunesse et des travailleurs.
Pour l’instant la bourgeoisie est complètement désorganisée , elle dépendait trop du benalisme, l’autre pouvoir est le morceau d’appareil d’état qui se resserre autour de l’armée et d’une partie de la police.
Autre chose ?
non, pour l’instant le mouvement populaire n’a pas encore atteint le point où ses organisations existent assez puissamment pour se saisir de tout.
il faut donc une formule intermédiaire qui a des comptes à rendre. Sinon c’est le retour aux formules d’union nationale (avec également l’UGTT) le temps que la bourgeoisie se rétablisse.
5. Vers une semaine decisive en Tunisie, 24 janvier 2011, 10:40, par Alain Chancogne
(
:))
C’est ça les cancres.
Tu leur redonnes pas un cours d’ensemble, ils sont largués dans le débat.
Merdi donc ..
;)
Mais comme au bahut, je vais devoir relire parce que je ne suis pas du tout convaincu.de ces "bougés" dans l’UGTT...
Mais Sacha Guitry rappelait que tout con vaincu a sa revanche" ..
AC
2. Vers une semaine decisive en Tunisie, 23 janvier 2011, 11:10
C’est pas Ben Ali qui promettait de ne pas se représenter en 2014 l’autre jour ?
3. Vers une semaine decisive en Tunisie, 23 janvier 2011, 11:21
En France, la pouvoir français soutient toujours l’ancien régime de Ben Ali ; pour preuve la manif d’hier Samedi 22 Janvier 2010 à Paris, départ Denfert-Rochereau jusqu’Ambassade de Tunisie ( 500 personnes). Les flics français onr dirigés la manif de bout en bout, disant aux organisateurs tunisiens quand arrêter, quand avancer, etc ; d’abord près du Boulevard Montparnasse pour empêcher les Tunisiens et leurs soutiens de rejoindre la manif de l’Education ; interdit d’avancer pour éviter que les gens se rencontrent et sympathisent. Puis’ encore plus à la fin vers Ambassade de Tunisie, là les flics ont chassés tout le monde alors qu’ils manifestaient et même commençaient à parler d’envahir l’Ambassade de Tunisie ; mais ça a marché parfaitement pour les flics ; les gens ont eu peur et sont rentrés chez eux.
1. Vers une semaine decisive en Tunisie, 23 janvier 2011, 20:45
Bien sûr, il s’agit de la manif pour la Tunisie à Paris de Samedi 22 Janvier 2011, et non pas 2010 comme indiqué par erreur.
4. Vers une semaine decisive en Tunisie, 23 janvier 2011, 15:46
’’ travaillez , faites des heures supplémentaires
Qui vous seront payées plus tard
Dans le royaume de mon père ’’.
Et en attendant les malheureux passaient devant les vitrines en frottant la croute contre la mie ... Prévert ( gros mot Prévert pour les communiste , explication de texte ) .
1. Vers une semaine decisive en Tunisie, 23 janvier 2011, 18:59, par AC
Je ne comprends pas, tu peux préciser stp.
2. Vers une semaine decisive en Tunisie, 23 janvier 2011, 19:37
Près d’un millier d’habitants venus du centre du pays sont arrivés dimanche matin dans la capitale pour dénoncer la présence d’anciens ministres de Ben Ali dans le gouvernement.je cite
super !!! combien de manifestants en France et pour quel résultat !!!!
un million d’habitant dans la rue sur 4 à Beyrouth et les medias n’en parlaient pas !!
ils ont un truc en Tunisie où on voit pas l’hameçon au bout de la ligne ???
à noter que ben ali est parti tranquille avec or et bagages entre autres et pourquoi on a pas fait pareil en irak au lieu de détruire le pays !