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le vrai visage alter de lulla au brésil

Publie le mardi 22 février 2005 par Open-Publishing

Goiânia Le gouvernement du faux socialisme au Brésil, le faire "innocent", essaie d’incriminer seulement le governantes de droite (ce support il dans un chemin ou autre, y compris dans les alliances du parti) de l’État de Goiás (Marconi Perillo - cela avait affirmé ces don’t se passeraient le massacre) et de la ville de Goiana (Iris Rezende, un commandant local a blessé avec la corruption et les agressions aux adversaires dans les dernières élections).

Pendant ce temps, c’est sérieux la condition des ouvriers dans Goiânia.

Les quatre volontaires de l’indymedia restent arrêtés. Entre les arrêté est le membre de l’indymedia de New York (Brad Veut) et un membre du mouvement Union Populaire (Raphael Augusto). L’image et filmer matière est dans les mains de la police (plusieurs matériel médiatique a enregistré l’agressivité de la police brésilienne qui tire contre les civils).

Tout sont emprisonnés par la police fédérale (non plus la police de l’état non plus les forces de la répression de la ville qui les ont arrêtés) dans Goiania ;

Les troupes de l’armée avaient été mobilisés pour le massacre. Les patrons (et menteur) médias du Brésil, cependant, n’ont pas enregistré ces images, obtenues par l’indymedia au Brésil. L’objectif du gouvernement du Lula c’est il de criminaliser les bagarres sociales au Brésil.

Actions de l’armée avec pouvoir de la police (que le gouvernez il a conféré) ils avaient été annoncés dans les plus autres États brésiliens. Voyez les soldats dans action (contre les gens du brazilian !) pendant l’invasion de la police dans Goiânia (les images excepté exposé la disparité de forces parmi le sans-abri et la police) :

http://brasil.indymedia.org/pt/blue/2005/02/307773.shtml

Rapports plus réels (complètement a repoussé par les "droits de l’homme" du gouvernement fédéral commissionnez) exposés la mort de plus de 30 gens (entre ceux, enfants) à qui corps étaient des throwed dans les puits (citernes) a interprété pour les résidents du occupation. Les nouveaux rapports (a transmis par grand nombre de résidents déplacés de

l’occupation) assure que beaucoup de cadavres seront CARBONISÉS par la police, les cacher des yeux des ouvriers du Brésil et de ceux qui autour de la boîte mondiale sympathiser avec les victimes de l’action de la police brésilienne.

Contre cela la presse brésilienne réactionnaire affirme, plusieurs maisons ont été détruites pour la police quand il donne la terre à même invasion des accroupis. Les mídia ont déclaré (dans accord total avec la version de la police) que les maisons seraient détruites plus tard pour ceux contrôlez, ce qui est faux. Au-delà les résidences qui ont été démolies par tracteurs et coups de la police ceux, les cabanes de bois ont été mises en feu (quelques-uns avec gens dans son intérieur).

Aussi réfute les mensonges de la presse (ce qu’il a déclaré que la police a évacué la région avoisinante à l’occupation) le fait que ces résidences avoisinantes à l’occupation ont été envahies pour police extrêmement agressif cela a attaqué les résidents, les battanten(existe récits d’hommes attaqués devant ses familles) et tirer avec les armes à feu pour l’intérieur des résidences.

Beaucoup d’habitants du voisinage (Le Parc Ouest Industriel, dans la ville Goiânia), a été affecté en respirant des problèmes par cause du nuage de fumée des bombes de la police qu’il a étendu pour le voisinage entier.

Dans São Paulo et dans quelques autres villes brésiliennes il s’organise des manifestations dans le samedi (19/02) dans solidarité avec les victimes de la répression.

Les enterrements du displaceds assassinés par la police (les morts que l’État reconnaît comme tel - officiellement) Pedro Nascimento Silva et de Wagner da Silva Moreira, s’est passé dans le dernier 18/02. L’enterrement est devenu une protestation. La police a infiltré trois agents secrets (truqués) dans la protestation en arrêter quelques-uns de ces chefs de l’occupation qui n’a pas été arrêtée dans les tueries. Ces agents sont du P2, la police politique de la police militaire du Brésil. Les agents ont été découverts pour les gens qui ce il a attaqué et presque les a lynchés, les a exécutés sommairement.

La police est intervenue avec les forces de l’élite, très armé pour défendre leurs agents. Ils ont tiré contre les gens dans les rues, et alors a envahi l’église où il s’est passé l’enterrement et shooted contre les gens. Les agents ont été évités avec sécurité, a protégé par les flics qui feu ouvert lâchement contre les gens (et encore pendant un enterrement !).

Images des enterrements et proteste contre la répression au Brésil :

http://brasil.indymedia.org/pt/blue/2005/02/307913.shtml

Nouvelles sur l’affronte dans l’enterrement des ouvriers morts :

http://brasil.indymedia.org/pt/blue/2005/02/308137.shtml

http://brasil.indymedia.org/pt/blue/2005/02/307982.shtml

Images et histoires de la police que ceux ont infiltré dans les protestations pendant les enterrements, de la police qui attaque les gens, :

http://brasil.indymedia.org/pt/blue/2005/02/307941.shtml

La nouvelle informations rapporte 32 personnes manquantes (lequel peut pour être le murdereds pendant l’invasion de la police).

Citoyens, toute l’aide est nécessaire en cette heure. Appelez vous et tous les camarades d’en dehors du Brésil pour sympathiser avec la condition terrible des ouvriers brésiliens et envoyer ces nouvelles au plus grand nombre de gens qui peuvent pour le savoir.

Steeve

Brésil : massacre en coursAlerte de Indymedia Goiânia (Brasil) sur le massacre en cours lors d’une expulsion d’une ocupation.

Masacre en Goiânia (Br) : muertos, heridos, detenidos (entre ellos 2 voluntarios de Indy) Por : gato (traducción de CMI Brasil) Wednesday, Feb. 16, 2005 at 1 :04 PM

Le début de l’expulsion violente de la plus grande occupation de Goiânia, Sonho Real par la police militaire a déjà fait des morts, des blessés et des détenus (dont deux compagnons d’Indymedai Goiânia).

2.500 hommes de la police militaire de Goiás ont commencé le 16/02, la méga opération de réintégration de propriétés de l’occupation de Sonho Real. Au moins 10 personnes ont été hospitalisées et deux morts sont confirmées.

Il y a eu plus de 800 arrestations.

L’opération a été réalisée malgré de nombreuses demandes d’organisations de droits de l’homme, de parlementaires goianos et de secteurs des églises catholiques et évangéliques. Le propre gouverneur, Marconi Perillo, a garanti que la police militaire ne rentrera pas sur le site.

Dans la nuit du 15/02, la police militaire a de nouveau attaqué l’occupation de Sonho Real, dans la Parc Ouest Industriel à Goiânia.

En plus de bombes lacrymogènes, ont été utilisés des balles de plomb de gros calibre. Les occupants ont répondu à l’agression avec leurs précaires armes de défense.

Plus de 3.000 familles vivent dans l’occupation de Sonho Real. Plusieurs barricades ont été levées dans es entrées et il y a une énorme détermination de résister.

La presse de Goiânia se tait face à ces abus et a dévellopé une énorme campagne de criminilisation du mouverment pour le logement. Le pouvoir judiciaire a publiquement mit la pression sur le Secrétariat de Sécurité Publique et à la police militaire pour remplir l’ordre de réintégration des propriétés. Selon le commando de la police.

Nous sommes face à un imminent massacre. Face à cette situation d’urgence, Indymedia Goiânia sollicite toutes les organisations de droits de l’homme de regarder ce qui se passe à Goiás et de faire pression sur le pouvoir local et fédéral pour une sortie pacifique au conflit.

Solidarité avec les habitantEs de goiânia