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municipale perpignan

Publie le mercredi 13 mai 2009 par Open-Publishing

L’accord proposé par le NPA au Parti de Gauche en evrier 2009 etait un accord pour au moins 2 elections,les Européennes et dans 9 mois les régionnales,nous pensions que le PC pour protéger ses elus retournerait dans le giron protecteur du PS des le lendemain des Européennes.

Nous trompions,des la municipalede perpignans,les 2 ont rejoint la nouvelle unité de la Gauche,composé du PS,PC,FG,MRC,Vert et enfin Modem avant que ces deux derniers sur injonction nationales decident de partir sur un tandem modem.Vert

La tete de liste amiel donat regretant la desunion a gauche nous apprenons donc que le modem,les verts,le PS sont agauche,ce qui montre bien que le critere gauche n’est plus pertinant,parceque devoyés,seul le critere anticapitaliste garde une pertinenece de classe,car lEurope et ses diredives concoctées par le PPE,PSE,Vert c’est a ire gauche droite confondues sont au service d’une classe ,celles des actionnaires,des patrons et des banquiers,comme le gouvernement de Sarkozy et un gouvernement au service sans fard de la meme classe qui represente moins de 10% de la population

La nouvelle gauche ,du PC au Modem eclairant,risible si la situation politique,economique,sociale et écologique n’eataient pas auusi graves

voir article de presse

Édition du mercredi 13 mai 2009FAITS DU JOUR
D.R. Municipales de Perpignan : les Réactions des candidats au sondage IFOP L’Indépendant

Nous avons recueilli les avis satisfaits, circonspects ou dubitatifs des candidats déclarés à ce jour. Ils ne sont plus que sept depuis le ralliement d’Henri Carbonell à François Rivière. Tous s’accordent sur un point : la campagne démarre à peine et les intentions de vote peuvent encore évoluer.

Jean-Paul Alduy, UMP (35 %) :
Je suis de ceux qui accordent un crédit mesuré aux sondages. En ce qui me concerne, la campagne ne fait que commencer tandis que les autres ont fait campagne durant un an.

Cette estimation m’apporte une satisfaction. C’est que les Perpignanais ne me tiennent en aucune manière responsable de la fraude du bureau 4. Ils savent que j’en suis la première victime. Tout ceci est derrière nous et on va enfin pouvoir parler du projet pour Perpignan. Je fais d’ailleurs le constat que les Perpignanais veulent le changement et un changement qui rassemble. Ceci nourrit mon espoir d’en être l’artisan. Pour moi, il faut rassembler largement toutes les compétences, quelles que soient leurs sensibilités.

Le changement me paraît nécessaire dans la période que nous traversons. Il faut faire face à une crise économique sans précédent. Il faut aussi saisir les nouvelles opportunités que vont nous apporter le TGV et la proximité avec Barcelone.

Jacqueline Amiel-Donat, PS- PC-PRG-MRC-CDC, (26 %) :
Avec toutes les limites et réserves que l’on doit émettre sur les sondages, celui-ci montre que la désunion à gauche favorise la réélection de Jean-Paul Alduy. Je regrette vraiment que Jean Codognès ait refusé de rester dans la liste "Nouvelle Union avec la Gauche", celle du deuxième tour de 2008 dont il était le numéro deux. Je sais bien que 26 % - ndlr : le score dont elle est créditée – et 16 % - pour Codognès - ne font pas 42 mais une liste commune aurait une autre figure
.

Je note également que par rapport à l’an dernier, c’est moi qui aie la plus grande progression. Je l’attribue au combat que j’ai mené pour le droit à la justice et à la démocratie. Combat qui a abouti à la décision du Conseil d’Etat.

Je suis convaincue qu’au cours de la campagne, l’ambition et le réalisme que notre liste présente vont convaincre les électeurs de Perpignan. Loin d’être un handicap pour Perpignan, ma liste, et seulement ma liste, pourra entrer dans une cohésion euro régionale tandis que la ville a toujours eu, sous Jean-Paul Alduy, une position d’isolement. Avec moi, il n’y aura pas d’opposition aux autres collectivités.

Jean Codognès, centre gauche-Modem-Verts (16 %) :

C’est un sondage de début de campagne, basé sur des positionnements d’étiquettes. En début de campagne, on sait que les personnalités ne sont pas encore très perceptibles par l’électorat. Je rappelle également que la dernière fois, le score que j’avais obtenu au premier tour était supérieur de 50 % aux intentions de vote qui nous étaient attribuées par le sondage. Notre liste a un savoir faire en matière de campagne et de programme. Nous allons présenter la semaine prochaine, une liste de compétences et d’union divers gauche, Modem, Verts et nous savons qu’il y a encore un travail à mener sur l’explication de notre rassemblement.

Nous aurons, je le pense, le meilleur projet pour la ville en termes d’emploi, de relance économique et de cadre de vie. Les femmes et les hommes qui vont présenter ce programme expliqueront pourquoi ils sont en capacité de le mener à bien.

Sur le terrain, au contact de la population, je constate la crainte inspirée par une candidate et la lassitude qu’inspire le sortant. Le vécu du terrain ne reflète pas du tout ce que cet institut parisien prédit.
Louis Aliot, FN (11 %) :

Je note qu’il y a, dans les intentions de vote que révèle ce sondage, une réelle stabilité. On dirait que la situation s’est figée l’an dernier. Certes, Jean Codognès me passe devant par rapport au sondage de janvier 2008 mais il représente une alliance de partis. Son score est donc, là aussi, assez stable. Ce sondage marque le point de départ d’une campagne. C’est maintenant que tout va se jouer. Je note que le Front national obtient un score à deux chiffres. C’est un bon début et il faudra compter avec le Front. Ce sondage me donne 0 % d’intentions de vote dans la tranche d’âge des 25-34 ans alors que je fais 18 % chez les 18-25 ans, je trouve cela plus qu’étonnant. Ensuite, on me crédite de 2 % d’intentions de vote chez les artisans et les commerçants. Je n’y crois absolument pas.

Enfin, avec ses 35 %, le maire sortant est trop bas pour être réélu. A la lecture des chiffres avancés pour le premier tour, Jean-Paul Alduy a perdu. La solution à l’équation du second tour se trouve chez Louis Aliot ou Jean Codognès.

François Rivière (5 %) et Henri Carbonell (2 %), divers droite :
 F. R : Pour quelqu’un soit disant inconnu, 5 % en trois semaines, je trouve ça encourageant. Les candidats traditionnels ont fixé leur électorat. Ils sont à leur maximum. Le scrutin dépendra beaucoup de la participation. Il faut donc être d’une très grande prudence. Plus que jamais, on doit convaincre les électeurs de la crédibilité du changement. De notre sérieux et de notre responsabilité. Le score d’Alduy et d’Amiel-Donat profite peu à Codognès. Il y a donc un véritable espace politique qui s’ouvre à nous.

 H. C : Ce sondage me semble équilibré. Il représente un début de campagne. Les Perpignanais, jusqu’alors ne sentaient pas la certitude de mon engagement. 2 % alors que je n’avais pas encore eu le temps de convaincre les Perpignanais. C’est désormais chose faite. Maintenant, j’engage véritablement le poids de mon action. Dans mon esprit, je rassure tous les Perpignanais. Je suis candidat solidaire avec François Rivière.

Michaël Cufi, NPA-LO (4 %) :

Bon, ce n’est qu’un sondage. L’an dernier, je rappelle que l’on a vu une grande différence entre les prédictions et les résultats effectifs. On nous donne à 4 % alors que la campagne n’est pas commencée ; alors que nous ne sommes pas des professionnels de la politique ; alors que notre budget de campagne est très faible. 4 % dans une ville ancrée à droite, ce n’est pas mal. Nous sommes donc confiants pour la barre des 5 %. Pour nous, il est très important qu’il y ait des élus de la gauche de lutte afin qu’il y ait plus de clarté dans les débats municipaux et plus de mobilisation dans le social.

Raymond Faura, catalano-centriste (1 %) :

Je pense qu’après 15 jours de campagne, beaucoup de gens n’ont pas encore pris connaissance de notre programme. Si les sondés l’avaient eu en tête, le résultat serait différent. Le vrai sondage, c’est le verdict des urnes. L’an dernier, j’ai sondé le centre-ville - ndlr : il était candidat aux cantonales à Perpignan - et j’ai fait 8 %.

LIRE AUSSI :

Le sondage des municipales de Perpignan Ifop/L’Indépendant >>>

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