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Plaidoyer pour Bové

Publie le jeudi 7 décembre 2006 par Open-Publishing
11 commentaires

Plaidoyer pour Bové

A l’heure actuelle la conscience planétaire s’élargit de jours en jours, elle fait tâche d’huile, c’est la conscientisation de masse.
Des phares géants s’allument et clignotent un peu partout dans le monde pour nous le faire comprendre. Il suffit d’être concerné et d’aller le net sur les médias parallèles et Alternatifs.

Pour ce qui concerne les médias traditionnels ils font partie depuis qu’ils existent de la dominance en place, c’est une chose établie (mis à part l’huma et le Canard) Leurs motivations, leur boulot, c’est de tout faire pour de garder les affaires en main et ce à n’importe quel prix. A ces fins il est impératif d’installer la désinformation comme règle, taire le positif, le bon qui se propage sur le globe, en cultivant la peur et en installant ses promoteurs sur un piédestal. De quel bois sont fait ces gens qui ont peur du peuple qui ont peur de nous.

Bien sûr que ce qui bouge dans le bon sens à l’heure actuelle ça et là on peut le qualifier de très positif. Nous parlons ici des initiatives tout azimut, de celle du citoyen de base à celles des groupes et des états ( particulièrement au Venezuela ou ce qui s’y passe est réellement révolutionnaire) Celle qui nous touche plus particulièrement en ce moment nous, citoyens français, apolitique, électrons libres, c’est entre autre celle du rassemblement unitaire antilibéral dont la finalité est, malgré son problème de personnes (qui nous l’espérons de tout cœur sera vite réglé) de s’occuper de l’intérêt général.

Citoyens apolitiques pourquoi parce que le citoyen du monde que nous sommes et c’est un lieu commun ne s’occupe plus du tout de « politique politicienne » malgré un bourrage de crâne fanatique. La « politique » qui s’occupe des intérêts égoïstes et particuliers et des castes, la politique qui fait l’apologie du libéralisme.

Parce qu’on ne fait partie d’aucunes chapelles, d’aucuns appareils, d’aucune idéologie et de surcroît on est plus si con au point de croire à cette « démocratie représentative » telle qu’elle est conçue car elle ne sert sur un plateau toujours le même genre : « l ’homme dominant »

« L’homme dominant » : C’est une histoire de sémantique (sens des mots), et la sémantique c’est important quand elle est précise elle véhicule la justesse. Quand elle est fausse, c’est la fourberie qui s’installe et bien des usurpateurs gourous savent la manier avec brio, ils sont sur nos écrans à longueur de journée.

Il faut les appeler les dominants car on fait souvent à tort l’amalgame avec les puissants. Les dominants se cachent toujours derrière un paravent quel qu’il soit. Que ce soit des lois faites par eux, les valeurs prônées par eux, des postures, les situations, des savoirs qu’ils monopolisent.

Les véritables puissants (tes) eux n’ont que leurs couilles ou plutôt leur cran et leur motivation à mettre en avant. Ils sont autre part, ils sont dans nos luttes quotidiennes qu’elles soient individuelles ou de groupe pour le recouvrement de ce qui nous à été jusqu’ici spolié : le droit de dire non « au pas bon pour nous » c’est à dire ce qui fait le sel de la vie.

L’ élan de ses êtres qui se battent bec et ongle pour retrouver notre souveraineté commune, nous touchent et nous émeut profondément, nous les êtres humain libres.

Là aussi, il est important de préciser cette dénomination d’humains libres. C’est ne pas faire du verbalisme affectif pour s’attirer les bonnes grâces du populo à la manière des démagogues, c’est du véritable sens dans la communication entre les êtres qu’il s’agit.

Des humains libres parce que nous ne sommes pas, ou sommes de moins en moins identifiables à l’homme primitif. De moins en moins accro à ses bas instincts. De moins en moins sujets à la peur car nous l’avons analysée nous savons d’où elle vient : de l’époque justement primitive de lutte pour la survie et elle n’a pas plus lieu d’être (malgré ce qu’en disent les libéraux) dans notre époque d’abondance. De moins en moins tributaires à l’apparence et à ses objets de la croissance qui la mettent en valeur parce que nous savons qu’ils pourrissent notre planète. Humains libre parce que nous nous préoccupons plus du sort de l’autre car nous avons intégré qu’il nous est complémentaire et que son destin d’aujourd’hui est peut être le nôtre demain.

L’homme, le primitif, lui est chargé de ces atavismes que sont la vanité, l’arrogance, le cynisme, des attitudes qui entraînent des idéologies, des doctrines de hiérarchies de compétition de divisions de conflits et ce à tous les niveaux. Jusqu’au sein même de nos structures sociétales, au sein même de nos relations qui elles aussi sont proches de la barbarie.

On parle aujourd’hui à tort et à travers de l’instauration ou de la restauration des vraies valeurs pour redresser le monde.

Dans la besace fourre tout de ces valeurs chacun y va de sa science. Surtout ceux qui veulent réhabiliter les fausses valeurs réactionnaires, ravageuses et autoritaires de grand papa d’avant 68. Celles du « travail, famille, patrie » On connaît leurs d’une part leurs désastres et d’autre part leur desseins inavoués, arriver à rassurer leur peur panique de « l’autre » en réhabilitant ses soi disant sentiments nobles dans l’idée de museler, contrôler et asservir les populations.

Les valeurs sensées nous les êtres humains nous les avons déjà intégrées. Il s’agit de valeurs universalistes et planétaires, des valeurs d’altruisme de tolérance, de droits essentiels et inaliénables pour tous les habitants de la terre. Respirer, manger et boire sainement, se loger, respecter la terre et les autres. Instaurer des règles d’éthique comme celle être inclus dans la société et avoir la possibilité d’être acteurs de notre destin.

Il est grandement temps d’établir ce droit sacré, le droit de dire non à ce qui nous concerne au premier plan par la démocratie participative au niveau local national et international. Même si elle nécessite un sérieux approfondissement.

Nous les humains équilibrés nous cherchons chacun de notre côté et nous trouvons, ce pourquoi ce monde va mal, par la compréhension d’un certain déterminisme (causalité ou fatalité) et par notre assiduité à vouloir le contrer.

Nous sommes, par l’union de toutes nos forces et par les solutions que nous apportent, les créateurs de la future cohésion et de la coopération planétaire de demain.

Nous suivons toutes ces évolutions, nos évolutions, pied à pied, au jour le jour, de semaines en semaines.

Comment ne pas être ému par ce qui se passe quand on vécu sa vie à cultiver secrètement l’espoir d’outre passer la barbarie du système mafieux et tentaculaire qui pose sa main acérée aux quatre coins de la planète.

Le bas blesse en ce qui concerne la désignation d’un candidat au mouvement antilibéral. Encore des querelles de cuisine chacun essaie de placer ses petits intérêts de boutique. Pour en faire un commentaire triste, c’est exactement ce que l’on reproche à ceux d’en face.

Même s’il n’y à pas d’homme providentiel de sauveur du monde de demi Dieu
le candidat qui pourra faire que des gens du peuple, la « France d’en bas », les encartés de nulle part, monsieur tous le monde, les abstentionistes, les désabusés du système se mobilisent c’est José Bové .

Cela demande une explication, pourquoi plus José qu’un autre, les autres étant tout autant estimables.

Je vous présente la version simple, voire simpliste : Parce que José c’est l’héroïsme de Monsieur tous le monde médiatisé. C’est celui qui ose mettre sa personne en avant à ses risques et périls pour affronter la bête. C’est secrètement ce que nous aimerions tous faire nous à notre « bas niveau » et que nous pouvons faire pour de multiples raisons.
José, c’est une projection de nous même c’est le héros que nous aimerions être.

Certes il n’est pas le seul à pouvoir faire cela, nous en connaissons tous. Pour parler de la mouvance Altermondialiste (il y en a bien sûr d’autres ailleurs aussi) un certain nombre qui seraient capables de se mettre en avant de la sorte, mais ils ne sont malheureusement pas (ou autant ) médiatisés. Et nous vivons dans un monde hyper médiatisé.

Voici la version pragmatique : Le fait que l’on veuille plébisciter un héros c’est le contraire de notre philosophie de base à nous humains. Le culte de la personnalité, la starisation, c’est pas notre tasse de thé. De surcroît José n’appartient à aucun appareils et son honnêteté n’est pas à mettre en cause. José possède une dimension internationale à connotation écologique non productiviste et populaire . Ceux qui on lu le projet antilibéral savent bien que José et les autres se battent contre ce culte de la personnalité et contres les prérogatives données au chef de l’état.

Si pour porter notre projet commun il faille user de réalisme voire d’opportunisme pour porter nos espoirs, alors n’hésitons pas une seule seconde.
Faute de quoi nous sommes plusieurs à nous le laisser dire que nous passerions à côté de la réalisation d’un beau rêve
Sans trop nous tromper il semble que si nous avions fait une sorte de primaire à champ large en y impliquant par exemple tous les internautes impliqués c’est le nom de Bové qui serait sorti du chapeau.

. C’est une nécessité de premier plan que José revienne porter ce projet pour un monde plus juste.

Messages

  • super analyse, camarade ! je m’ y reconnais à fond, un des talents supplementaire de José est son multilinguisme et ça va être important car les résonnances de notre lutte sont planétaires.

    intégrons aussi le bolivarisme de Chavez la lutte contre la misère de Morales et reconnaissons à l’ autogestion des argentins, la lutte des zapatistes, la timide resistance de Lula, leurs qualités novatrices, arrêtons de nous regarder le nombril français, plus nous tisserons de liens avec nos freres citerriens et citoyens du monde et plus nous aurons des raisons de nous réjouir et de jubiler à découvrir de nouvelles relations enrichissantes,

    comme le dit Albert Jacquard, si nous arrivons à remplacer la conscience de notre identité/individualité par le concept que nous sommes la somme des relations que nous tissons, alors nous deviendrons des artistes de la rencontre

    et ça change tout

    Sam telam

    • Trés bien et trés bon , tout ça.
      Le problème , c’est qu’à ce jour , à mon avis , la messe est dite...et que José est hors circuit pour le choix du candidat de l’Alternative Antilibérale aux présidentielles.
      S’il bénèficie de soutiens divers et nombreux , la plupart sont individuels , ne font pas partie des comités locaux , et ne sont pas structurés.
      En fait , José Bové a manqué d’un véritable réseau.
      Ce réseau lui a fait défaut pour populariser ses positions.Par exemple , lorsqu’il a avancé la "votation citoyenne" pour le choix du candidat.
      (Pour répondre à J.L. PARRA , on ne peut limiter le choix aux internautes , car les personnes concernées dépassent largement les internautes.)
      La votation citoyenne proposée par J.B. a été écartée d’un revers de main , sans véritable débat , ni à l’échelon national , ni à l’échelon local dans les comités locaux.
      Et pourtant , l’idée était nouvelle et intéressante.En l’occurence , le Comité National à fait preuve de frilosité , de manque d’imagination et d’absence de volonté politique d’élargir et d’enraciner véritablement l’électorat potentiel de l’Alternative Antilibérale.
      Cette votation citoyenne - bien organisée- vote le même jour et dans des lieux neutres (salle municipale par ex.)de tous ceux et celles qui se retrouvent dans le mouvement - aurait permis de sortir du cercle des militants convaincus pour toucher le cercle des soutiens,de prendre des contacts , de lancer la campagne médiatiquement en valorisant une véritable démocratie paticipative , de recueillir des fonds (participation financière , même symbolique,)etc..etc..
      Dimanche quelques centaines de militants déjà convaincus valideront-dans quelle ambiance ?- le(ou la)candidat(e).
      Imaginez un instant , si le même jour , le candidat de l’Al.A. avait été élu par des dizaines-voire plus- de sympathisants .Sa légitimité aurait été incontestable et la dynamique enclanchée !!!
      Francis du plateau du Larzac

    • C’est tout beau tout ça , mais un homme fut il superman , qui fuit le combat à la premiere bourrasque , ne me semble pas bien placé pour mener ce combat .
      c de T.

    • Claude, il faut arrêter les arguments de mauvaise foi, ou injurieux, car en les employant jusqu’à la nausée, tu donne une image sectaire et fausse du parti :

      1) José BOVÉ n’a pas "fuit" : il a été fidèle à son engagement initial : lutter pour l’UNITE. En l’absence de la LCR, et devant l’intransigeance de la direction du PCF, il a retiré "provisoirement" sa candidature. C’est un geste qui montre clairement qu’il met l’unité de notre rassemblement au dessus de son égo, LUI ! Il a fait ce qu’il avait dit, et celà prouve par des actes qu’on peut lui faire confiance, plus qu’à d’autres prétendant(e)s ...

      2) Beaucoup de gens pensent qu’il EST le meilleur candidat. Si ce point de vue n’a pas le droit d’exister, pour toi, avec qui veut tu "rassembler" ? Tu semble bien vite abandonner le projet d’un rassemblement UNITAIRE. C’est ton droit, mais, dans ce cas, n’espère pas que les militants venus pour ce projet UNITAIRE resteront pour un autre projet, qui ne serait pas NOTRE projet COMMUN.

      3) Il faut cesser de donner une image caricaturale du PCF : au parti, il y a de très nombreux militants de base qui ne pensent pas que MGB soit la mieux placée pour rassembler. Et il y en a de nombreux autres (comme toi), qui pensent que c’est la meilleure. D’autres encore penchent pour Salesse, Clémentine, ou Braouzec. Parmis les "dirigeants" et les élus PCF, les avis sont aussi très partagés. Pour être serein, et démocratique, le débat doit être respectueux de tous les points de vues communistes, ET non communistes, puisque le projet approuvé à 96% est celui d’un rassemblement des communistes du parti, de ceux de la LCR, et des non-communistes du "non" de gauche.

      4) Concernant l’appel à un sursaut unitaire, il n’est pas honnête de parler de "volonté "d’exclusion". C’est une opinion, parmis les autres en débat, partégée par au moins 4000 personnes, et qui a tout comme l’opinion favorable à MGB le droit d’être exprimée. La pétition fait partie des modes d’expression démocratiques. Le parti, lui, est organisé. On n’a pas le droit de refuser à autrui le droit de s’organiser démocratiquement, ou de s’exprimer collectivement. Sinon, il y aurait bien une volonté "d’exclusion", mais pas là où tu le dit : ce serait une volonté d’exclure l’expression publique des opinions qui, pour diverses raisons, ne pensent pas que MGB soit la mieux placée pour rassembler.

      Minga
      "Parce que le vrai courage est de faire ce qui est juste"

  • Cet article résume magnifiquement ce que nous sommes si nombreux à "méditer" quand on se paye le luxe d’un éclair de lucidité. Pas trop souvent car sinon pour ma part, c’est le désespoir qui l’emporterait !

    Camarade Juan, et les autres, (je sais, c’est peut-être trop tôt !), s’il advenait que José BOVE ne soit pas celui qui représentera nos idées à la présidentielle, créons nous-même un parti qui aura pour objectif, avec son accord, de préparer l’alternance pour 2012, et pour présenter des candidats aux législatives et municipales sous ses couleurs.

    Je n’ai jamais milité, mais je suis prête à déplacer des montagnes, et je ne suis pas le seule apparemment, pour faire en sorte que les Humains que nous sommes, ne soient pas/ne deviennent pas des esclaves.

    Intruse

    • ...Créer un nouveau parti aujourd’hui , compte tenu des divisions des défenseursdu NON de gauche au TCE , ne me semble pas à l’ordre du jour...celà ajouterait à la cacaphonie et à la division sectaire .Par contre , une association -qui par la suite pourrait évoluer -qui rassemblerait toutes celles et tous ceux qui se reconnaissent dans ce courant trés diversifié de l’antilibéralisme , cela me semble opportun et même indispensable....Francis

  • José a filé la pétoche à tous les révolutionnaires d’opérette !!!

    • Bravo pour ce texte

      Cela m’aurait fait plaisir que ce soit Bové. Plus encore qu’Autain ou Salesse
      il aurait déclenché une dynamique souterraine - au niveau individuel - chez les 95% d’élécteurs de gauche qui ne voteront pas PS tout en étant encartés nulle part

      Au lieu de ca on assiste à des querelles - dont tout le monde se contrefout, mais alors à un point... , entre des gens qui alignent à peine 100 000 militants ....et d’autres 2000 !militants dans le pays

      Je dirais simplement ceci : je n’ai jamais fait partie du PCF, et de ma vie , dejà assez longue, je n’ai jamais eu le moindre moment d’illusion sur ce parti, mais pour la première fois de cette même vie j’ai eu depuis quelques mois l’espoir que le PCF allait peut-être faire quelque chose de vraiment bien.

      Il avait l’opportunité et (encore) les moyens de le faire.

      Mais tout est foutu

      Le PCF n’est pas le seul responsable, certes non. Je préfère encore LO qui au moins n’a même pas prétendu être acteur de cette farce sinistre, se contentant de perpetuer son théatre à elle (qui ne durera que le temps d’Arlette, car apres c’est les oubliettes direct)

      Et bien si MGB est élue candidate unitaire , je vous souhaite quand même bonne chance dans votre campagne, vous allez en avoir besoin

      Pour ma part, et si vous n’y voyez pas d’inconvénients majeurs - nous sommes tous des démocrates n’est-ce pas - j’envisage l’hypothèse de faire campagne pour l’abstention. (mais c’est sous le coup de la colère, je changerais peut-être d’avis)

      Lil

    • Un parti pour jose tres bonne idee une chose est sur sur ces actions contre les ogm s n’hesitons plus a y aller en masse ! Je crois que le contre pouvoir et la desobeissance civile est nettement plus efficace que cette mascarade actuelle.gregory objecteur de croissance

  • L’article parle de citoyens "apolitiques"...

    L’auteur oublie sans doute le vieil adage qui avait encore cours dans les années 70 :

    « L’apolitisme a toujours eu le visage de la droite »

    Et en effet l’on voyait souvent, à l’époque, la droite se défendre de la gauche, à propos des élections locales (municipalités, députés...), en disant que ce n’étaient pas politique, qu’il ne fallait pas du tout tenir compte de ce que faisait le gouvernement (de droite) en train de gouverner au niveau national et international pour choisir pour qui voter au niveau local, que les choses n’étaient pas dialectiquement liées, mais bel et bien séparées.

    Et n’a-t-on pas vu à nouveau la droite nous tenir le même discours pour les précédentes élections régionales par exemple ?

    L’apolitisme continue à avoir le visage de la droite !

    Je ne suis pas "apolitique" !

    Je suis ANTIPOLITIQUE, parce que la politique, c’est la lutte pour le pouvoir, et que le combat révolutionnaire consiste à supprimer le pouvoir, parce qu’il ne sert qu’à exploiter et à opprimer.

    un individu libre

  • La dimension internationale de José Bové est incontestable... Une qualité de plus à ajouter à une candidature qui aurait été rassembleuse, populaire, pleine de vitalité pour contrer Le Pen, Sarko et Ségolène...
    A la place de ça, on dirait qu’on s’achemine vers une candidature unitaire anti-libérale très Canada Dry, par rapport à ce qu’était la gauche du non au tce...
    Pourtant on est des milliers et des milliers qui attendions autre chose que du Canada Dry !