Accueil > Pas de chapelle, pas de « château » à défendre….

Pas de chapelle, pas de « château » à défendre….

Publie le jeudi 21 décembre 2006 par Open-Publishing
9 commentaires

Bien entendu la déception est forte, la colère est présente parmi un grand nombre de militante et militant des collectifs unitaires ! Ce fut exprimés hier au soir lors de la réunion de mon collectif.

Pendant des semaines un drôle de petit jeu a été orchestré, donnant une place d’acteur aux citoyennes et citoyens. En fait un jeu des militantes et militants basé sur l’improvisation, sur la « spontanéité », cela est constatable dans les « recommandations » envoyé pour « choisir » la / le candidat.

Par contre le scénario était écrit ailleurs ! Alors acteurs émérites militantes et militants ont improviséEs au fil du temps pour tenter de jouer la pièce de théâtre rêvée.

Il ne m’appartiens qu’à moi de dire que la rédaction du scénario, par les auteurs, est basé sur le jeu : « Je te tiens tu me tiens par la barbichette, le premier de nous deux qui rira (sortira) aura une tapette.. »,

Je te cite l’extrait d’un post [1] : :Le prix pour le meilleur second rôle revient sans conteste à la LCR, qui s’imagine probablement sortir grandie de la farce alors que c’est sa virginité de façade qu’elle vient de perdre,

Faut-il rappeler que la LCR dès le départ avait comme demande / recommandation / exigence ; que le candidat d’union ne pouvait être un dirigeant d’une organisation politique, et que cela s’appliquait à Olivier Besancenot (c’est le devoir de mémoire) . De la même manière qu’elle demandait plus de clarté, un langage clair quant au refus d’alliance, post élections, avec la direction du PS.

Deux conditions, discutables sans doute et réfutable aussi , mais qui avait au moins l’honnêteté de poser les condition d’un consensus. Les réunions « Nanterre / St Denis etc.. n’ont pas répondu à cela, il était donc évident que ce fameux consensus n’était pas réalisable avec la LCR. En conséquence Olivier Besancenot est le candidat LCR 100% à gauche. On est d’accord ou pas, mais au moins les choses sont claires !

Les « ceusses » qui ont voulu mettre au frigo, leurs divergences en se disant cela sera régler plus tard, non au sein des collectifs locaux, mais au sein d’un état major, portent cette responsabilité ! A telle point qu’ils initient une pétition, pour exclure une candidature sur la base que ce ne peut pas être une dirigeante du PCF qui soit la candidate !!!

Pourquoi en juin cela n’était pas à discuter ? Pourquoi en Juin septembre cette question n’a pas été soumise aux collectifs locaux ? comme bien d’autres questions qui restent en suspens.

Qui a refusé l’idée d’une « votation citoyenne » proposé par José Bové ? Ne me répondait pas le PCF, il n’était pas le seul, loin s’en faut, à rejeter cette démarche ! Les actrices et acteurs des collectifs locaux ont eu à se prononcer sur la proposition de José ??? NON pourquoi ??

Derrière cette volonté de façade, il ne fait aucun doute que des jeux politiciens ont été mis en branlent, des calculs politiques d’affaiblissement d’organisation, de parti (de rapport de force au sein de parti) ce sont profilés derrière de grandiloquente affirmation unitaire.

Si effectivement pour certain, la forme organisée de parti politique est un problème, là encore fallait poser clairement cette question, la mettre en débat au sein des collectifs locaux !

Tant il est vrai que la communion entre des militants qui fonctionnent en « réseau [2] » et des militants qui fonctionnent en « pyramide [3] » n’est pas facile à réaliser. Ces deux « formes » d’organisation militante sont présentes au sein du / des collectifs unitaires ! Elles sont présentes au sein du mouvement populaire contre les politiques de droite !

J’ai voté comme la majorité des adhérents de la LCR, pour la candidature d’Olivier Besancenot, non par esprit de chapelle, ni comme gardien du « temple », mais parce qu’il m’apparaissait que trop de choses étaient obscures, que trop de choses n’étaient pas abordées clairement, que trop d’enjeux partisans, voir de règlement de compte s’incrustaient dans la démarche ! Aujourd’hui ais-je eu tord ???

Une chose est de refuser ensemble le TCE s’unir contre le CPE (dommage d’ailleurs que le CNE ait été oublié), une chose est de participer, tenir un stand au Larzac en 2003 (ce fut mon cas) autre chose est de construire une alternative politique au capitalisme à l’impérialisme !

CONTRE la rencontre est facile, POUR cela se complique et demande clarté et transparence ! mais j’ajoute aussi volonté réelle d’aboutir sans exclusive, sans règlement de compte !

Encore une fois je te cite le même post :
C’est le devoir de mémoire, se souvenir, et transmettre. A la prochaine gesticulation des représentants autoproclamés du peuple, au prochain foutage de gueule des prolétaires, on se souviendra de 2006

Mais je me souviens d’avant 2006, je me souviens de ma vie militante depuis plusieurs décennies (hé oui déjà), et si méfiance existe n’es-ce pas aussi, voir surtout, une résultante des alternances, de ce que les médias nomment Droite / Gauche depuis 1981 ?

Alors demain ?

Il y aura un panel de candidate candidat se réclamant de l’Anti Libéralisme, de l’Anti Capitalisme/impérialisme pour certains.

C’est évident que l’addition de leur voix ne sera pas la FORCE nécessaire pour changer la vie dès 2007, on le regrette tous mais c’est un fait !

Chacune et chacun se déterminera face à l’urne.

Pour autant ce qui a été fait, les errements, les incompréhensions, mais aussi les bases posées pour un rassemblement majoritaire, sont autant de point d’appui , d’expérience pour construire une véritable alternative aux politiques menées depuis 25 ans. C’est aussi un renforcement du « réseau citoyen » pour les luttes futures qui, quel que soit l’issu du scrutin, seront nécessaire pour changer la vie

Rien n’est perdu et l’histoire ne s’achève jamais !

Marco Gentilly marcogentilly@hotmail.com


[2exemple sortir du nucléaire et bien d’autres

[3exemple la LCR ou le PCF

Messages

  • Ce qui est clair c’est qu’aujourd’hui, nous ne pouvons que voter Besancenot car le processus unitaire a été stoppé. Il reste le seul à défendre les raisons pour lesquelles j’ai rejoint les collectifs. Je ne suis pas en colère ni aigri. L’unité des forces anticapitalistes est un combat qui sera long et parsemé d’embuches, mais s’il n’a pas abouti aujourd’hui, il faudra bien qu’il se réalise demain. Alors pas d’invectives ni de désespoir. Continuons patiemment la recherche de l’unité. Un très bon score de Besancenot pourrait bien nous y aider !

    • ah bon ??? qu’est ce qu’il a fait Besancenot dans les collectifs ???
      pourquoi a-t-il si vite décider d’être candidat pour 2007 ???
      qu’a-t-il fait pour un grand rassemblement ???? RIEN !!!!!
      pourquoi faudrait il voter plus pour lui ?????

      enfin ça y est la magouille antiMGB se découvre !!!!

    • L’important, pour la secrétaire nationale du PCF, c’est de trouver « une solution pour que la gauche gagne et réussisse » et de « rendre possible le très large rassemblement politique qui peut changer la donne à gauche, battre la droite et ouvrir en 2007 pour notre peuple une nouvelle période de progrès social et démocratique ». On peut même penser que, dans un « très large rassemblement populaire », il doit y avoir la place pour quelques dirigeants de l���UDF...

      Le décor est donc planté. On dirait même que, dans une stratégie globale de captation de militants et d’électeurs, les démarches de Marie-George Buffet, Ségolène Royal et Dominique Voynet ressemblent étrangement à un partage de tâches et de rôles en vue d’une opération politique ultérieure. Peu importent les divergences politiques affichées, ou les hypothétiques rivalités personnelles. En l’occurrence, on peut raisonnablement penser à une alliance d’intérêt jugée incontournable par la coupole du PCF.

      Des procès d’intention, des phrases extrapolées ? Honnêtement, je ne le crois pas.

      Dans un entretien publié par L’Humanité le 23 novembre, la dirigeante du Parti communiste revient à la charge : « Si je disais à l’une ou l’un de ces salariés rencontrés dimanche, si je disais aux familles en attente d’un logement que notre rassemblement n’aspire qu’à témoigner du bien-fondé de nos propositions ou à faire émerger une union de la gauche de la gauche, elles diraient : " Dans quel monde vit-elle ? Ne voit-elle pas l’urgence de battre la droite ? " Notre rassemblement doit clairement viser une majorité populaire pour constituer un gouvernement. Ne mettons donc aucune frontière ! ». Notamment, à « des hommes et des femmes de gauche » [qui] « ne se retrouvent pas dans le terme "antilibéral" ». Le seul objectif sensé est donc de « battre la droite » et de « ne pas laisser les clés de la République à Nicolas Sarkozy ». On ne peut pas être plus clair.

      Evidemment, une telle politique d’alliances ne peut pas ne pas générer de laissés-pour-compte. Les silences « au bon moment » en témoignent déjà. L’axe Royal-Buffet-Voynet, qu’on semble bien nous préparer, augure, malgré toute la phraséologie pré-électorale, une « gauche musclée » avec une politique sociale « dure ». De 1997 à 2002, Lionel Jospin n’a guère respecté ses promesses électorales et a sorti de son chapeau de nombreuses mauvaises suprises. Ce sont les mêmes à présent, et il faut s’attendre aux mêmes pratiques. Excluant donc, dans la réalité, un certain nombre de compromis et d’ouvertures. José Bové ne s’y est pas trompé lorsque, le 23 novembre, il a adressé aux collectifs « pour des candidatures unitaires de la gauche antilibérale » une lettre retirant sa proposition de candidature présidentielle. Un communiqué aussitôt qualifié de « signal d’alarme » par des membres de ces collectifs.

      Mais pouvait-on sérieusement espérer, par exemple, qu’un milieu politique ayant gouverné en 1997-2002 aide José Bové à accéder à des responsabilités d’une certaine importance ? Ce serait oublier un peu vite que le gouvernement Jospin était très favorable aux OGM. Qu’en 2001, des poursuites engagées par le Parquet et par un organisme de recherche public, le CIRAD, ont abouti à la condamnation de l’alors dirigeant de la Confédération paysanne, ainsi que d’autres militants, à de lourdes peines d’emprisonnement. Ni le monde politique ni les institutions n’aiment se déjuger sur des questions aussi graves.

      En réalité, des organisations comme le PCF ou les Verts, voire la « gauche socialiste », s’étaient rapprochées d’une certaine « extrême gauche » après la débâcle électorale de 2002. Suite logique d’un processus amorcé dès 1998-1989, lorsque la politique du gouvernement de « gauche plurielle » a commencé à susciter un mécontentement croissant, et qu’il est devenu impératif de « ne pas perdre de vue » les militants qui prenaient leurs distances. La volonté de récupération avait toujours été évidente. Mais avec la mise en orbite supermédiatisée de Ségolène Royal, les intérêts de carrière des appareils de ces partis pointent à nouveau vers une alliance sans fissure avec la direction du Parti socialiste afin de pouvoir accéder à ministères et administrations, de bénéficier de cette alliance lors des élections législatives et par la suite... Ce qu’un article d’Indymédia a appelé le buffet royal. Il ne pouvait pas en être autrement. Les tondus seront, comme d’habitude, les citoyens confrontés au « choix » entre une énième alternance, dont au fond ils n’attendent plus rien, et la continuité d’une majorité, dont la politique les a également laminés.

      Enfin, à l’égard des empêcheurs de tourner en rond dans cette démocratie-fiction, le bunker des cinq cents signatures risque de s’avérer un excellent cordon sanitaire. Les élections ne sont tout de même pas faites pour que les citoyens puissent exprimer ce qu’ils pensent vraiment...

      MILLAU

  • Oui et puis si avait des arbres a sous et a travail existaient ce serait cool ! N’importe quoi !

  • Tu as raison, ça pose problème de faire travailler ensemble des organisations type réseau et des organisation type pyramide.

    Le PCF vient de nous mettre dans une douloureuse confusion en essayant de nous faire adopter une structure pyramidale, quelle garantie avons-nous que la LCR ne va pas faire pareil ?

    • Il n’y a pas de garantie absolue, il faut (faudra) toujours être vigilant.

      Mais il y a une tradition, une culture, des racines différentes, une ouverture et un questionnement sur ces problèmes, qui peuvent faire espérer que.....

  • Je partage ton analyse sur un certain nombre de points.
    Notamment, je tiens à signaler que si j’ai voté le maintien de MGB c’est bien par ce que j’ai le sentiment (je dirait même que c’est plus qu’un sentiment) qu’il y a des gens qui ont voulu profiter de la démarche pour créer des clivages dans mon parti !

    Si Besancenot fait un bon score, tant mieux... mais j’espère que MGB fera aussi un bon score histoire de montrer à tous les tenant du libéralisme que l’histoire n’est pas finie !

    Et puis comme vous dites à la ligue : demain on continue !

    Janco

    • L’important, pour la secrétaire nationale du PCF, c’est de trouver « une solution pour que la gauche gagne et réussisse » et de « rendre possible le très large rassemblement politique qui peut changer la donne à gauche, battre la droite et ouvrir en 2007 pour notre peuple une nouvelle période de progrès social et démocratique ». On peut même penser que, dans un « très large rassemblement populaire », il doit y avoir la place pour quelques dirigeants de l���UDF...

      Le décor est donc planté. On dirait même que, dans une stratégie globale de captation de militants et d’électeurs, les démarches de Marie-George Buffet, Ségolène Royal et Dominique Voynet ressemblent étrangement à un partage de tâches et de rôles en vue d’une opération politique ultérieure. Peu importent les divergences politiques affichées, ou les hypothétiques rivalités personnelles. En l’occurrence, on peut raisonnablement penser à une alliance d’intérêt jugée incontournable par la coupole du PCF.

      Des procès d’intention, des phrases extrapolées ? Honnêtement, je ne le crois pas.

      Dans un entretien publié par L’Humanité le 23 novembre, la dirigeante du Parti communiste revient à la charge : « Si je disais à l’une ou l’un de ces salariés rencontrés dimanche, si je disais aux familles en attente d’un logement que notre rassemblement n’aspire qu’à témoigner du bien-fondé de nos propositions ou à faire émerger une union de la gauche de la gauche, elles diraient : " Dans quel monde vit-elle ? Ne voit-elle pas l’urgence de battre la droite ? " Notre rassemblement doit clairement viser une majorité populaire pour constituer un gouvernement. Ne mettons donc aucune frontière ! ». Notamment, à « des hommes et des femmes de gauche » [qui] « ne se retrouvent pas dans le terme "antilibéral" ». Le seul objectif sensé est donc de « battre la droite » et de « ne pas laisser les clés de la République à Nicolas Sarkozy ». On ne peut pas être plus clair.

      Evidemment, une telle politique d’alliances ne peut pas ne pas générer de laissés-pour-compte. Les silences « au bon moment » en témoignent déjà. L’axe Royal-Buffet-Voynet, qu’on semble bien nous préparer, augure, malgré toute la phraséologie pré-électorale, une « gauche musclée » avec une politique sociale « dure ». De 1997 à 2002, Lionel Jospin n’a guère respecté ses promesses électorales et a sorti de son chapeau de nombreuses mauvaises suprises. Ce sont les mêmes à présent, et il faut s’attendre aux mêmes pratiques. Excluant donc, dans la réalité, un certain nombre de compromis et d’ouvertures. José Bové ne s’y est pas trompé lorsque, le 23 novembre, il a adressé aux collectifs « pour des candidatures unitaires de la gauche antilibérale » une lettre retirant sa proposition de candidature présidentielle. Un communiqué aussitôt qualifié de « signal d’alarme » par des membres de ces collectifs.

      Mais pouvait-on sérieusement espérer, par exemple, qu’un milieu politique ayant gouverné en 1997-2002 aide José Bové à accéder à des responsabilités d’une certaine importance ? Ce serait oublier un peu vite que le gouvernement Jospin était très favorable aux OGM. Qu’en 2001, des poursuites engagées par le Parquet et par un organisme de recherche public, le CIRAD, ont abouti à la condamnation de l’alors dirigeant de la Confédération paysanne, ainsi que d’autres militants, à de lourdes peines d’emprisonnement. Ni le monde politique ni les institutions n’aiment se déjuger sur des questions aussi graves.

      En réalité, des organisations comme le PCF ou les Verts, voire la « gauche socialiste », s’étaient rapprochées d’une certaine « extrême gauche » après la débâcle électorale de 2002. Suite logique d’un processus amorcé dès 1998-1989, lorsque la politique du gouvernement de « gauche plurielle » a commencé à susciter un mécontentement croissant, et qu’il est devenu impératif de « ne pas perdre de vue » les militants qui prenaient leurs distances. La volonté de récupération avait toujours été évidente. Mais avec la mise en orbite supermédiatisée de Ségolène Royal, les intérêts de carrière des appareils de ces partis pointent à nouveau vers une alliance sans fissure avec la direction du Parti socialiste afin de pouvoir accéder à ministères et administrations, de bénéficier de cette alliance lors des élections législatives et par la suite... Ce qu’un article d’Indymédia a appelé le buffet royal. Il ne pouvait pas en être autrement. Les tondus seront, comme d’habitude, les citoyens confrontés au « choix » entre une énième alternance, dont au fond ils n’attendent plus rien, et la continuité d’une majorité, dont la politique les a également laminés.

      Enfin, à l’égard des empêcheurs de tourner en rond dans cette démocratie-fiction, le bunker des cinq cents signatures risque de s’avérer un excellent cordon sanitaire. Les élections ne sont tout de même pas faites pour que les citoyens puissent exprimer ce qu’ils pensent vraiment...

      MILLAU

  • Oui marco je oartage ton analyse, et je pense sincèrement que la LCR a été claire depuis le début
    en demamdant des clarifications et des précisions au moment de l’adoption du document ambition/stratégie du 10 septembre.
    par contre le PC a été malhonnçete dans sa démarche, voulant en fait utiliser les collectifs pour se donner a nouveau une image de part de masse, et si cela n’avait pas été le cas, l’appareil n’aurait pas fait le forcing avec MGB.
    revenu à la politique depuis un an, car plus de temps ( retraité ) je souhaite que le dynanmique que l’on connaît à la base se poursuive sous une forme unitaire.

    pourquoi pas la suite de l’histoire en orenant notre envole politique avec les militants qui le souhaitent ( toutes les orgas qui ne suivront pas MGB +unitaires PC +unitaire LCR+vertrs+ non organisés +++ )

    et sans rêver , pourquoi pas la majo LCR , puisque le terrain ( doute sur l’allaince pC/PS n’existerait plus)
    un candidat , BOVE,AUTAIN,SALESSE, une équipe avec besancennot dans le collectif de campagne.

    les 500 signatures , OB en apporte 400, reste 200 ou 300 pour la sécurité.
    nul doute que la dissidence PC les apportera.
    la LCR a son imprimerie. structurons financièrement la campagne autonome. nous ferons largement 7% et seront remboursés, une manne financière pour continuer notre lutte organisationnelle et construire cette gauche radicale qui fait défaut.

    ça se traduira dans les légistatives. nous gagnerons la frange antilibéral du PC et nous serons une véritable force d’appui pour toutes les luttes.

    la LCR redorrerait d’autant son blason en apportant sa verve révolutionnaire. le parti, un outil pour changer le monde.

    combattant89