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Deux ou trois choses que j’ai rien compris au « Brexit ».

par L’iena rabbioso

Publie le vendredi 29 mars 2019 par L’iena rabbioso - Open-Publishing
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Que Dieu sauve la Reine

D’abord une chose : que les Dieux soient avec nous et que demain soit une journée de bordel national.

Ville morte.

Bordeaux était déjà morte quand son vin a été le préféré des anglais.

Maintenant, le noyau dur de mon article important.

Une première remarque : quel premier ministre, en France, considérerait comme une menace sa démission ?

La démocratie anglaise est vraiment un mystère, comment une monarchie peut-elle être bloquée par un vote parlementaire.

Vous me voyez venir.

En France, cela à été à peu près le contraire.

Pour annuler un vote, une réunion à Versailles, et Hop, le peuple souverain peut aller réviser les articles de la constitution française de la 5eme république, le coup d’état permanent comme disait un certain président, qui n’a pas pris la peine de modifier certaines anomalies démocratiques de la nouvelle constitution, qui fait du président, un chef.

C’est la première interrogation que j’ai : le peu de commentaire sur ce comparatif à priori évident.

Au lieu de ricaner sur l’invraisemblable scénario de la Kamikaze May, un petit retour en arrière sur le vote qui à failli ralentir l’entrée dans le mondialisme commercial la 5eme république française, aurait été à mon avis pertinent.
Mais les journalistes politiques ne sont pas impertinents, en France.

La deuxième question sérieuse que je me pose, c’est le séisme économique qui est prédit.

Rappel : La guerre entre France et Espagne concernant la pêche, alors qu’ils étaient dans l’union.

Rappel : Le rétablissement de la Douane entre la France et l’Espagne, concernant le Tabac.

Rappel : Les états n’ont jamais perdu leurs privilèges, à partir du moment où c’était plus ou moins vital pour les secteurs d’économie encore en vie.

Pour le restant, les états ont laissés les branches mortes de l’industrie tomber, par leurs propres décisions, et non sous un soit-disant diktat de l’Europe.
Ou alors, le rédacteur de la constitution au centre de la contestation, était un Nazi, mais comment un Noble pourrait-il l’être ?
La dernière question, et c’est la plus sérieuse, c’est : qu’est-ce que l’Europe.

Pour le général de gaulle, la CECA (communauté européenne de charbon et d’acier), c’était juste cela, pas très loin donc de la notion frontisme d’union des nations.

Nous sommes dans un étau, donc : d’une part une Europe Mondialiste qui réduit la richesse d’un pays à son PIB.

De l’autre, les néo-nationaux, ceux qui disent que c’est la faute aux autres si...

En France, un SDF aura du mal à comprendre que le mondialiste est une chance, alors que pour un économiste, vendre un Rafale, une centrale nucléaire, ou une usine Peugeot, cela sera toujours une chance pour la grandeur de …

Bref, très sincèrement, je ne comprend rien à la problématique du « Brexit ».

Je dis juste : Le thé glacé, c’est dégueulasse.

Comme le café glacé d’ailleurs.

Et puis ne soyons pas naïfs : c’est toujours de la faute des salauds d’anglais si on perd tous les ans un tournoi dont la seule nation est l’Angleterre.

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