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Pourquoi détester, maudire, et combattre l’église Catholique ?

par L’iena rabbioso

Publie le jeudi 26 avril 2018 par L’iena rabbioso - Open-Publishing
2 commentaires

ça pique un peu mais après on a la foi

Je ne parlerai ici que de la secte catholique romaine, car en tant que baptisé de naissance (en fait trois mois après ma naissance (les prêtres n’ayant pas -encore- le droit d’investir les lieux publiques de natalité, mais pour combien de temps encore ?)

Je vais parler ici avec colère, et en prenant soin de vous convaincre que mes propos ne sont ni haineux, ni ironiques, ni cyniques.

Pour combattre frontalement un ennemi, il faut le connaître.

Du fait de mon parcours de vie, de 3 mois à 12 ans, j’ai acquis les connaissances utiles, nécessaire et suffisantes pour que mon texte ne puisse pas être suspecté de malhonnêteté, mais qu’il soit radicalement anti-clérical, oui, je le concède.

A aucun moment je ne parlerais de Dieu, car je qui est but de mon article, c’est de démonter les arguments mensongers, hypocrites, et malsains de ces gens qui prétendent avoir une connexion directe avec le saint-esprit.

Je veux juste les démolir.

Au départ il y a le catéchisme.

Jusqu’à la nausée, il nous est répété que Jésus a souffert pour laver nos péchés, c’est à dire qu’en quelque sorte il s’est suicidé pour nous expliqué que la violence, c’est mal, que l’amour infini des pauvres est un devoir, mais en laissant aussi toute une série de sentences contradictoires.

Ensuite il y a le fameux passage de la joue gauche :

Si tu te prend une beigne, au lieu de répliquer, tend la joue gauche en espérant que celui qui t’a cogné comprenne le sens profond de ta stratégie défensive.

Après il y a le truc de la première pierre.

Pour éviter la lapidation d’une femme adultère, il provoque la foule en furie avec ces paroles : « Que celui qui n’a jamais péché me jette la première pierre ».

C’est en fait le fondement de la morale chrétienne et surtout catholique : Interdiction de juger une personne pour ses actes, le père tout puissant aura la charge de punir les méchants.

C’est avec une doctrine pareille que des évêques pédophiles peuvent continuer à parler d’amour et de virginité, car le vrai crime en fait serait de se détourner de l’adoration du fils, incarnation de la bonté, ou du père, entité abstraite, tenant des principes du bien et du mal.

Ainsi on peut entendre quelques excité(e)s dire ; « Seul Dieu pourra me juger. »
Ceci après avoir par exemple découpé en morceaux un beau frère.

La morale catholique impose un nombre tellement important d’interdits, que finalement notre manière d’agir la plus noble serait de faire comme le Christ.

Suivre les traces de sa vie, défiant les incrédules, jusqu’à la fin attendue (oui : Prophète c’est cela, connaître l’avenir).

Quand j’ai demandé au curé, s’il connaissait l’avenir, alors pourquoi avoir pleurniché « Pourquoi m’as tu abandonné sur la croix ».
La réponse du curé fut pour moi incompréhensible, mais en fait il fallait juste se rappeler d’une chose :

« Les voies du seigneur sont impénétrables ».

C’est à dire que même sont propre fils ne pouvait pas lui faire confiance !

Et donc, à force, j’ai été obligé de faire comme tous les petits catholiques : faire semblant de comprendre les tortueuses paraboles des évangiles, et être hypocrite : Bien sûr je te pardonne mais un jour tu feras une mauvaise chute dans l’escalier.

Un des aspects les plus révoltants et répugnants des ||croyants|| (oui ici j’invente un signe signifiant : je ne suis pas non-croyant, simplement je m’en fous) est le rapport à l’argent.

C’est en fait le principal moteur idéologique de l’antisémitisme.

Si on était dupe de ces sales menteurs, notre vie devrait être dépourvue de toute tentation de posséder, d’amasser de l’argent, ou de sous payer des esclaves.

C’est ce point précis qui m’a rendu anti-catholique pratiquant.
Car au fond tout le restant est plutôt cool (la vie en groupe des cathos, c’est un peu comme Disney Land).

Mais le rapport à la réalité ?

Un état minuscule, protégé de tout contrôle extérieur, et riche à milliards.

Une véritable monarchie, avec un Pape qui est un demi-dieu comme Louis XIV.

Des prélats qui bénissent des voitures de luxe.

Des prêtes de l’armée qui sanctifient la guerre.

Des ||Pro-vie|| qui détruisent la vie de filles mères, qui empêchent les médecins de libérer les femmes de grossesses non désirées.

Des pervers, qui .condamnent la jouissance et tripotent des petits garçons.

Des bonnes sœurs qui vont au secours d’enfants en perdition, mais qui ne peuvent pas critiquer les dictateurs qui vont à la messe le dimanche.

Pour tout cela, je rejette le sourire niais de ces gens qui prétendent incarner le bien.

S’ils revenaient dans la vie politique, on peut être sûr que les hérétiques seraient aussi en danger que les juifs dans les années 1940.

Ancêtres, inventeurs de la trilogie Liberté Égalité Fraternité, protégez nous de l’église.

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