le message n’est pas d’une grande clareté , mais c’est un sensation personnelle .
je ne sai pas si la peur change de camp , peut -on d’ailleurs parler de peur .
Mais le capitalisme peut etre pris d’une certaine crainte : sa mécanique mondiale perd de son efficacité du fait même de sa conception , tandis les peuples comprennent de mieux en mieux ce qu’il y a sous le capot .
Du coup ils ne se priveront pas de mettre la machine hors d’état dés qu’ils auront compris comment .
On pourrait imaginer une fiction ou la crise de 2008 serait un test de panne justement .
Ca c’est une bonne question,... et même la question, parce que si l’on passe sont temps "simplement" à protester, pétitionner, voter,... on ne va pas aller loin !
c’est La seule question qui vaille , en la précisant un peu
qu’est ce qu’on met à la place du système actuel ?
et cette question ( qui fait chier tous les révolutionnaires ) est la seule question qui vaille depuis l’aventure stalinienne ; enfin pour tous ceux qui veulent sincèrement que l’émancipation des travailleurs soit l’oeuvre des travailleurs eux-mêmes
Commençons par créer des réseaux parallèles, alternatifs là où nous le pouvons, en se donnant des structures coopératives et solidaires comme il commence à en exister un peu partout, en France et ailleurs.
Créer des réseaux citoyens de communication serait sage .
L’économie sociale solidaire est mise sous cloche par les pouvoirs .
Si besoin il la libereront avec un coups de ’’ Washing social ’’ comme pour le biseness vert .
Tant que ne sera trouvé la formule de rentabilité capitaliste elle ne bénéficiera d’aucune aide .
L’idéologie attachée a ce dispositif est trop dangereuse pour une économie qui procede par alliénation .
Une pensée sérieusement critique sur nos besoin réels est une arme de destruction massive pour le capitalisme .
C’est peut etre pour celà que l’alliénation , l’addiction est provoquée trés tot et entretenue chez l’enfant qui devient vecteur de la pulsion consumeriste .
Bref d’autres l’on analysé autrement mieux que moi .
La désintoxication ne sera pas chose facile , on peut imaginer un monde plutot sain , mais quand il faudra nous défaire de nos cuirasses bling bling ou de pacotille ça va démanger . faites le test a Noel .
Peu nombreux sont ceux indemnes de cette emprise .
Succomber a l’exigence conformiste du modéle de consommation se comprend
Mais c’est un créve coeur de voir que certains sacrifient en pure perte de trés maigres moyens , piégés et contraints par le vice marketing .
Ne noircissons pas le tableau , la demmande en circuits cours , ammap , et autres dispositifs existe .
A défaut d’une politique tout prosélytisme sera bon surtout auprés des enfants
(attention vous risquez vous faire mal voir )
Messages
1. DESSIN D’ACTUALITE, 9 novembre 2010, 09:12
Et oui,... apparemment !
2. DESSIN D’ACTUALITE, 9 novembre 2010, 11:06, par bill d’herreberg
le message n’est pas d’une grande clareté , mais c’est un sensation personnelle .
je ne sai pas si la peur change de camp , peut -on d’ailleurs parler de peur .
Mais le capitalisme peut etre pris d’une certaine crainte : sa mécanique mondiale perd de son efficacité du fait même de sa conception , tandis les peuples comprennent de mieux en mieux ce qu’il y a sous le capot .
Du coup ils ne se priveront pas de mettre la machine hors d’état dés qu’ils auront compris comment .
On pourrait imaginer une fiction ou la crise de 2008 serait un test de panne justement .
Aprés on fera quoi ?
1. DESSIN D’ACTUALITE, 9 novembre 2010, 11:10
Ca c’est une bonne question,... et même la question, parce que si l’on passe sont temps "simplement" à protester, pétitionner, voter,... on ne va pas aller loin !
2. DESSIN D’ACTUALITE, 9 novembre 2010, 21:19, par jaja
après on fera quoi
c’est La seule question qui vaille , en la précisant un peu
qu’est ce qu’on met à la place du système actuel ?
et cette question ( qui fait chier tous les révolutionnaires ) est la seule question qui vaille depuis l’aventure stalinienne ; enfin pour tous ceux qui veulent sincèrement que l’émancipation des travailleurs soit l’oeuvre des travailleurs eux-mêmes
3. DESSIN D’ACTUALITE, 9 novembre 2010, 22:01
Commençons par créer des réseaux parallèles, alternatifs là où nous le pouvons, en se donnant des structures coopératives et solidaires comme il commence à en exister un peu partout, en France et ailleurs.
4. DESSIN D’ACTUALITE, 10 novembre 2010, 01:26, par bill d’herreberg
Créer des réseaux citoyens de communication serait sage .
L’économie sociale solidaire est mise sous cloche par les pouvoirs .
Si besoin il la libereront avec un coups de ’’ Washing social ’’ comme pour le biseness vert .
Tant que ne sera trouvé la formule de rentabilité capitaliste elle ne bénéficiera d’aucune aide .
L’idéologie attachée a ce dispositif est trop dangereuse pour une économie qui procede par alliénation .
Une pensée sérieusement critique sur nos besoin réels est une arme de destruction massive pour le capitalisme .
C’est peut etre pour celà que l’alliénation , l’addiction est provoquée trés tot et entretenue chez l’enfant qui devient vecteur de la pulsion consumeriste .
Bref d’autres l’on analysé autrement mieux que moi .
La désintoxication ne sera pas chose facile , on peut imaginer un monde plutot sain , mais quand il faudra nous défaire de nos cuirasses bling bling ou de pacotille ça va démanger . faites le test a Noel .
Peu nombreux sont ceux indemnes de cette emprise .
Succomber a l’exigence conformiste du modéle de consommation se comprend
Mais c’est un créve coeur de voir que certains sacrifient en pure perte de trés maigres moyens , piégés et contraints par le vice marketing .
Ne noircissons pas le tableau , la demmande en circuits cours , ammap , et autres dispositifs existe .
A défaut d’une politique tout prosélytisme sera bon surtout auprés des enfants
(attention vous risquez vous faire mal voir )