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La porte-parole des milliardaires états-uniens, dame Hillary Clinton, adresse des reproches au Venezuela
Publie le vendredi 12 mars 2010 par Open-Publishing5 commentaires
La journaliste Eva Golinger dans un article intitulé "Permanent Agression : War on the Horizon in Latin America" constate que la secrétaire d’État américaine dame Hillary Clinton a fait quelques déclarations à l’encontre du Venezuela lors de son récent voyage en Amérique latine.
voir : http://www.globalresearch.ca/index....
Dame Clinton a dit entre autres qu’elle craignait pour la démocratie et les droits de l’Homme au Venezuela.
En parlant de Droits de l’Homme et de démocratie, évidemment que les États-Unis devraient regarder dans leur propre cour. Il est bien vrai de dire que celui qui voit la paille dans l’oeil de l’autre ne voit pas la poutre dans son propre oeil.
Quand on pense qu’aux États-Unis, il y a dans ce pays environ 3.5 millions de sans-abris et ce chiffre est en augmentation. On peut se demander si les droits de ces citoyens américains sans-abris sont respectés. En effet, la déclaration universelle des Droits de l’Homme n’exige-t-elle pas un revenu suffisant et une vie décente pour tous ?
Aussi, il n’y a plus guère d’illusions sur la nature du régime américain qui est moins une démocratie qu’une ploutocratie dans laquelle les riches dictent la ligne de conduite et font élire qui ils veulent grâce à leur argent.
Et les riches états-uniens ne se contentent pas de leur pays mais cherchent à dicter la ligne de conduite au monde entier. C’est pourquoi Eva Golinger craint que les États-Unis soient à l’origine d’un futur conflit en Amérique latine.
Messages
1. La porte-parole des milliardaires états-uniens, dame Hillary Clinton, adresse des reproches au Venezuela, 12 mars 2010, 19:23
Tu sais ce qu’il lui a dit Chavez, dans "Allo Presidente" ?
Il lui a dit d’aller se faire foutre. Elle et les siens !
J’ai même lu ça un jour sur BC mais j’ai pas retrouvé le post.
Manque de bol il lui avait pas donné l’adresse pour mettre en exécution.
Comme quoi faut TOUJOURS bien mettre les choses au point...
((- :
G.L.
1. La porte-parole des milliardaires états-uniens, dame Hillary Clinton, adresse des reproches au Venezuela, 12 mars 2010, 20:39
j’ai trouvé cette vidéo de Chavez :JCdepoil
L’ami Chavez remet les choses à leur place !
JC D
2. La porte-parole des milliardaires états-uniens, dame Hillary Clinton, adresse des reproches au Venezuela, 12 mars 2010, 21:54
Les médias bourgeois ainsi que les bourgeois eux-mêmes qui vouent un véritable culte à Hillary Clinton étaient en extase à ce moment-là disant qu’elle avait donné une leçon de démocratie à Chavez...
Les bourgeois sont tellement en extase devant Obama et Hillary qu’ils oublient les civils qui se font bombarder à tous les jours en Afghanistan et la guerre d’Irak qui n’est pas terminée et surtout leurs propres compatriotes qui survivent en fouillant dans les poubelles. Mais Hillary et Obama puisqu’ils sont riches et puissants ne peuvent évidemment pas faire d’erreurs. Aux yeux des bourgeois, ils sont plus infaillibles que le pape.
Chavez a répondu qu’Hillary était une "Condoleezza blonde". Il faut se rappeler que Condeleezza Rice avait à peu près le même statut de semi-divinité auprès des bourgeois qu’Hillary Clinton et jouissait de la même vénération.
Peut-être vaut-il mieux avoir une religion et adorer un dieu quelconque si cela nous évite d’élever des politiciens capitalistes au rang de divinité...
1. La porte-parole des milliardaires états-uniens, dame Hillary Clinton, adresse des reproches au Venezuela, 13 mars 2010, 03:05
ET TOUJOURS...
LE LIVRE NOIR DU CAPITALISME. Ed. Le Temps des Cerises, Paris, 1998.
« QUANT au Livre noir du capitalisme, il s’écrit tous les jours sous nos yeux et dans nos vies. Populations courbées sous la dictature des marchés financiers ; chômage ravageur ; guerres tribales déclenchées avec cynisme pour prendre le contrôle, par-delà les fantoches locaux, des richesses du sous-sol ; diktats économiques imposés par les institutions internationales et qui, en réduisant drastiquement les dépenses publiques consacrées à la santé, font chuter l’espérance de vie ; innombrables migrants condamnés à l’exil pour échapper à une condition désespérée... Et si chaque système doit se juger au nombre de ses victimes innocentes, de quel poids pèseront les 40 000 enfants qui, selon l’Unicef, meurent chaque jour de malnutrition dans le tiers-monde ?
Le malheur des hommes mérite mieux qu’un livre tapageur. L’espérance d’y remédier exige davantage qu’une opération de propagande. »
GILLES PERRAULT.
« Il faudrait pouvoir écrire le livre noir du capitalisme pour montrer à quel point ce système est odieux parce qu’il tue des millions de personnes et qu’il dépossède tous les autres de leur humanité, pour montrer comment ce système divise le monde en deux catégories d’êtres humains plus sûrement qu’aucun système totalitaire n’a pou le faire.
Et nous finissons par accepter cette vision bipolaire du monde comme inéluctable. Tout notre monde marchand, moderne, publicitaire concourt à tenter de nous faire admettre qu’il n’y a pas d’autre solution.
Et pourtant c’est faux. »
cequepensepierre@free.fr
Authentique histoire des violences coloniales, "Le Livre noir du colonialisme", coordonné par Marc Ferro (1), brosse le tableau de six siècles de pillages, d’oppression et d’extermination qui ont permis l’essor de la civilisation occidentale et du capitalisme.
On peut parier que ce Livre noir du colonialisme n’aura pas l’impact médiatique du Livre noir du communisme, même si son préfacier, Marc Ferro, affirme dès les premières lignes, en déroutant un peu le lecteur, que les deux ouvrages "forment couple". Il ne s’agit pas, cette fois-ci, d’un produit idéologique. C’est une somme sur la gigantesque vague de violence qui a accompagné l’essor de la civilisation occidentale et du capitalisme à partir du XVIe siècle. Pour la première fois, le lecteur dispose d’une vision d’ensemble sur le coût humain et social du colonialisme. Rien de vraiment nouveau, puisque chacun des thèmes ici traités a déjà fait l’objet de nombreuses études, mais cette panoramique engendre une perception nouvelle. Le lecteur ne peut s’empêcher de tirer sa conclusion : nos sociétés occidentales - le capitalisme libéral, aujourd’hui présenté comme le meilleur des mondes - se fondent sur un immense cortège de violences, de souffrances et de mort.
2. La porte-parole des milliardaires états-uniens, dame Hillary Clinton, adresse des reproches au Venezuela, 13 mars 2010, 03:55
Merci 90, ton commentaire jette la lumière sur le capitalisme et l’élite financière que la misère des autres ne préoccupe pas. D’une tristesse absolue...