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Le capitalisme malade de l’Amérique-Latine !

Publie le dimanche 7 février 2010 par Open-Publishing

Pas de doute sur la recherche Etatsunienne à récuperer le terrain perdu en Amérique-Latine. Trois pays ouvertement hostiles au capitalisme, d’autres en sympathie pour le faire, d’autres …. ?

La tache d’huile est effrayante pour les yankees, le monde unipolaire c’est fini, la Chine s’éveille. Si la guerre économique contre l’ex-camp Socialiste d’Europe à été gagné, l’internationale capitaliste s’aperçoit qu’elle n’a pas réussi avec la Chine ce qui a été la perdition des autres en Europe.

Sans oublier le valeureux Peuple Cubain qui a osé et on peut dire gagné de leur tenir tête. Car il ne peut pas être vrai et les Peuples le ressentent de plus en plus de la supériorité du capitalisme sur le Socialisme. Sur la Chine sans être devin une certitude : on y vit mieux humainement parlant qu’aux Indes par exemple !

Le terrain perdu en Amérique-Latine où le Suffrage Universel reflète la démocratie participative ils ne peuvent plus prétendre à le reconquérir à part par la force, voir la solution tyranique du Honduras et hier au Chili de Salvador Allende et j’en oublie sans doute ! Mais cette solution n’existe pas partout à part alors de déclancher une tentative guerrière extérieure à défaut de l’intérieur ! L’illusion de la démocratie c’est tout ce qu’il reste au capitalisme grâce surtout à sa médiatique dictatoriale.

Les grands gérants de ce régime le savent très bien et… s’en suit : Tempête sous un crâne ! Dommage que le courant Révolutionnaire ne puisse pas avoir propriété d’une chaîne de télévision où nous pourrions expliquer la vraie nature du capitalisme prêt pour soigner sa crise et à se perdurer à déclancher un cataclysme dont il peut être capable (MARX). Et que seule la prise de conscience des Peuples pourra éviter !!! Car enfin nous, tous ceux qui ne vivent que de leur travail (Pas ceux dont F. Mitterrand disait que chaque matin en se levant ils avaient déjà gagné leur journée)et qui sommes dans l’opposition au Pouvoir économique des régimes capitalistes, est-ce que nous y fabriquons ou complotons des coups d’Etat ? Ne sont-ils pas les sans-voix, les opprimés, les vrais démocrates qui attendent tranquillement d’une élection à l’autre que l’on veuille bien enfin les écouter ?

La bourgeoisie se plaisait à accuser les Révolutionnaires d’être des violents. La réalité qui apparaît aujourd’hui plus qu’hier est que ce sont eux les "bobos" les gens violents dès lors qu’on leur exige ne serait-ce qu’un peu moins de privilèges ! Car autant ils sont avares à soulager un peu de pauvreté autant ils sont prêts à dépenser beaucoup pour sauver leurs privilèges égoïstes !

De tout cela les Révolutionnaires le savaient déjà, mais un immense MERCI à nos frères Latinos-Américains pour nous en faire la démonstration. Je veux enfin paraphraser le cri de l’Abbé Pierre : "Jusqu’à quand se contenterons nous d’exiger seulement des moins pauvres à aider les plus pauvres ?" Paroles d’un Juste à médit