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On ne parle plus des démunis ; comme s’ils n’existaient pas

Publie le vendredi 11 mai 2007 par Open-Publishing
2 commentaires

Depuis le 11 septembre 2001, les médias ne semblent plus concernés par les démunis de la société. On ne parle plus que de sécurité (sûrement pas la sécurité de ces démunis) et lorsque l’on parle d’économie, c’est toujours à la façon du verre à moitié plein. On ne se formalise plus du verre à moitié vide.

Comme exemple, on mentionnait récemment une "bonne" nouvelle économique pour l’Allemagne alors que le nombre de chômeurs pour ce pays était tombé en bas du 4 millions. Pourtant, 3, 900, 000 chômeurs dans un pays comme l’Allemagne, n’est-ce pas une tragédie, sans compter le drame humain vécu par les familles de ces chômeurs qui sont à court d’un revenu décent.

L’amélioration des conditions de vie des citoyens passe inévitablement par des programmes sociaux généreux permettant à tous de satisfaire ses besoins essentiels. Le seul marché, quoique les médias puissent en dire, n’arrivera jamais à assurer le bien-être de tous et chacun sans exception.

Messages

  • C’est pourquoi les démunis, dans les quartiers défavorisés, doivent s’organiser . Il suffit qu’une ou deux familles réfléchissent à la meilleure façon de mieux vivre ensemble en contrant la société de consommation moutonnière et qu’elles lancent l’idée, ce printemps et cet été, des pique-niques familiaux du dimanche sur la pelouse au pied d’un immeuble pour en discuter. C’est comme ça qu’on a commencé, dans le jardin d’un particulier, puis au bas d’un immeuble, ça a permis aux parents de se connaître et de s’entraider et les gamins font moins de bêtises depuis qu’ils savent que l’on connaît leurs parents. Grâce au non conformisme de plusieurs familles étrangères on a trouvé des solutions facilitant la vie quotidienne auxquelles personne n’avait pensé .
    Laissons les médias encenser les frasques des "people" dont on se tape totalement , pendant ce temps ils nous laissent vivre à notre manière.

  • On n’en parle plus parce qu’ils ont voté, (pour 40% de ceux qui sont allés voter) pour SARKO.

    Alors maintenant,c’est au boulot, avec des heures sup, le livre vert sur le temps de travail au

    niveau européen prévoit de passer à 48h/semaine avec une tolérance heures sup à

    60h/semaine !!

    Les français ont rejeté majoritairement et de la manière la plus fascisante toutes les politiques

    de solidarité en votant SARKO à 53%,alors vive la CHARITE, le COMMUNAUTARISME et la

    poursuite des politiques d’exclusion.