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Reunion du G7 ou le sottisier de Mme Lagarde(2)
Publie le samedi 11 octobre 2008 par Open-PublishingReunion du G7 ou le sottisier de Mme Lagarde(2)
“Tout tient finalement en une page, 5 engagements et quelques lignes de conclusion. Le soutien aux « importantes institutions financières » pour « éviter une faillite » est affirmé. Comme est répété la garantie des dépots des épargnants, la volonté de d’améliorer la « liquidité du marché interbancaire », la possibilité de recapitaliser les institutions qui en ont besoin ou encore la nécessiét de « revoir la qualité des normes comptables ». Bref rien de bien neuf par rapport à la déclaration du G4 (France, Allemagne, Italie, Royaume-Uni) de la semaine dernière. Rien si ce n’est la modestie de la forme. Et à entendre Mme Lagarde “c’est exceptionnel”
http://www.liberation.fr/economie/0101123677-front-commun-des-pays-les-plus-riches-face-a-la-crise
Question ; exceptionnel Pourquoi ? la reunion précedente du G4 n’a servi strictement a rien ; Mais notre économiste de génie ; a la réponse ” cette fois les USA sont avec nous” libé signale la mine hyper réjouie de la ministre lorsque , en pleine conférence , un conseiller lui repasse un papier reprenant les propos de Henry Paulson” le trésor est prét a entrer dans le capital des banques en mauvaise posture” alleluia ! coup de génie !
Pas de bol ; il y a plus d’une semaine que la presse US en parle !
En attendant, le patron de la Société générale s’est fait en 4 mois ( mediapart repris par libération) 1,4 millions d’euros de plus value”le président de la banque a, « en toute légalité », commencé il y a quatre mois à revendre des actions SocGen acquises à un prix plus avantageux que le cours de l’action en Bourse au titre des stock-options.” donc en speculant a la baisse.
Il parait que dans l’immobilier on attend plus de 100000 licenciements ( ça n’a rien a voir ; mais c’est histoire de fixer les idées et de rétablir une échelle des valeurs) esperons qu’ils trouvent des offres raisonnables d’emploi ; il parait que FIllon veut piquer le fric de l’assurance chômage pour aider les entreprises.