SUR LA CONCURRENCE "LIBRE ET NON FAUSSEE"

Pour ceux qui n’auraient pas encore compris, BUSH a été très clair : il a justifé son refus de signer les accords de Kyoto puis son sabordage de la conférence de Bali sous le prétexte "d’entrave à la libre concurrence".

Concernant les émissions de carbone, poussés par leur peuple l’ensemble des gouvernements de la planète trouvait juste de demander un effort proportionné au degré de développement de chaque pays.
Mais pour Bush, Sarkozy, le Medef, le grâtin, la concurrence ça veut dire les plus forts doivent rester les plus forts même si la planète n’en peut plus, même si les pauvres n’ont plus que les ordures produites par les multinationales pour survivre ou s’empoisonner, même si le réchauffement climatique est gros de tous les désastres.

Les européens qui n’ont pas encore bien lu la consitution déguisée en traité et que Sarkozy veut imposer aux français avec l’aide des députés MERCANTILES savent maintenant ce que signifie "concurrence libre et non faussée".

En France, nous sommes 54,67% à dire NON à cette Europe là. OUI à une Europe ouverte parceque forte, forte parceque solidaire et sans chômage.

Al Gore et Chirac nous ont dit : "la maison brûle". Bush et son copain Sarkozy ne veulent pas entendre. Pour pouvoir continuer à engloutir les réserves en pétrole de la planète Bush fait la guerre à l’Irak et menace le Vénézuela. Son petit copain, moins fort, vend entre deux pirouettes, des armes de destruction dernier cri au dictateur et ancien(?) terroriste Kadafi lui aussi riche en gaz et en pétrole.

Il est vital de dire à tout ce beau monde : pour la concurrence libre et non faussée c’est plus que jamais NON. Avec ou sans consitution bidon !