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contre les controles les lois lsq lsi et pour les transports gratuits
Plutôt Chômeur(ses) que contrôleur(ses)
Les faits divers en coups de matraques
Tant vont les exploité(es) aux casses sociales et les victimes des chiraffsark aux mépris permanent et a l’arrogance des maffieux u.m.p qu’a la fin ils explosent
Depuis l’avènement et le vote , des lois sécuritaires et fascisantes dites de la Lsq et celles de la Lsi on assiste a une chasse sans merci aux pauvres et aux plus démuni(es) d’entre nous , chasse aux pauvres qui depuis deux mois se sont traduites par des peines de prison , et autres ’’ joies ’’ du tout sécuritaire qui s’attaquent en priorité aux personnes ne pouvant pas se payer leurs transports , un véritable déni de justice sociale nommé ’’ délit d’habitude ’’ qui vous fait risquer la prison , au bout de dix amendes non payées a la sncf et de la ratp , ou à toutes autres sociétés et régies ou compagnies de transports urbains
a paris c’est une véritable parodie de justice qui a amené collectivement 25 de nos camarade a un procés pour " délit d’habitude "
a lyon c’est un jeune sdf handicapé qui s’est pris deux mois de prison fermes pour ne pas avoir pu se payer ses transports pourtant vitaux pour lui
Tiré d’un article des agents du Ppa presse du pouvoir et de l’argent
Quand les médiarques officiels aux ordres et a la botte de la ’’ république ’’ de Medef s’étonnent que les gens puissent encore avoir la force de se révolter et refuser ces ’’ contrôles ’’ et cette chasse et la stigmatisation perpétuelle des plus pauvres et des plus précarisés de ce pays
Samedi 16 octobre 2004
Le contrôle de tickets dégénère gare du Nord [ et se transforme en mini émeute contre les milices du capital nda ] encore une information évidement censurée par les télévichyelles télés Medef habituelles
Cela pu se passer dans l’indifférence quasi générale. Mais le contrôle de tickets effectué hier matin à la gare du Nord (X e ) s’est franchement mal terminé. A 8 h 45, au niveau - 1,juste devant les tourniquets d’accès aux RER B et D, les agents de la RATP et les policiers de la brigade des réseaux ferrés se sont heurtés à une cinquantaine d’usagers très remontées qui contestaient les méthodes musclées employées.
En retour, les voyageurs ont été menacés de coups de matraque et certains d’entre eux ont reçu du gaz lacrymogène. Une « violence gratuite », accuse Josy. Cette voyageuse cherchait à rejoindre le RER E lorsqu’elle a été arrêtée par l’attroupement.<< Les agents de la RATP brutalisaient violement un homme sous les huées de la foule, explique-t-elle >> Soudain, des policiers sont arrivés en renfort et ont voulu nous disperser en agitant et tapant avec leurs matraques. On nous a envoyé du gaz lacrymogène. Leurs réactions ont été totalement disproportionnées. »
A l’origine de la pagaille, un voyageur sans titre de transport. Attrapé par les contrôleurs, l’homme a refusé de donner ses papiers d’identité et frappé un agent d’un coup de pied et d’un coup de poing. « Nous avons été appelés en renfort et nous avons procédé à l’interpellation de la personne, explique Michel Felkay, chef de la brigade des réseaux ferrés. Mais en utilisant la force strictement nécessaire. »
« Nous avons seulement dispersé la foule, assure de son côté la RATP. Mais, comme à chaque fois qu’il y a des scènes difficiles le public a tendance à se retourner contre l’autorité. » Hier, le fraudeur a passé la journée en garde à vue.
Les usagers témoins de ces violences et de cette « bavure >>, eux, se sont donnés rendez-vous lundi matin pour protester, à 8 heures, devant la cabine automatique de photos proche des tourniquets.
samedi 16 octobre 2004
sources réseau résistons ensemble
Pour consulter le site :
Abrogation totale des lois sécuritaires et fascisantes des décrets LSQ - LSI
Transports gratuits pour tous(tes)
Anarcho Punks paris