Les mêmes personnes qui aujourd’hui sont indignées par l’affaire Navalny et qui ont commencé à divaguer avec la rhétorique habituelle sur la liberté, les droits et la persécution et à prononcer des condamnations sans pratiquement rien savoir, sont les mêmes qui torturent Julian Assange.

Ce sont les mêmes qui n’ont pas dit un seul mot sur le meurtre de Gonzalo Lira, un journaliste américain emprisonné, torturé et tué par le régime de Kiev. Même Biden, pour alimenter sa propagande, a parlé de « crimes de guerre » en référence à l’affaire Navalny et, ô surprise, il a menacé de graves conséquences pour la Russie.

Il est curieux de voir qu’ils n’ont jamais utilisé le mot crimes de guerre pour désigner Israël, qui a causé plus de 30 000 morts, dont 14 000 enfants, commet un génocide et détruit un territoire entier, bombardant même des hôpitaux avec des personnes à l’intérieur. condamné à d’atroces souffrances.

Il est également curieux de voir comment, lorsque cela leur convient, ils attendent des preuves et se montrent garants comme dans le cas de la Cour internationale de Justice, tandis que lorsqu’il est nécessaire d’accuser pour alimenter leur propagande, ils le font sans la moindre preuve, en gérant pour ne pas perdre ne serait-ce qu’une seconde.

Chère, très chère, sachez une chose : vous n’avez aucune crédibilité et, tôt ou tard, les doubles standards vous enterreront. Au lieu d’aller manifester devant l’ambassade de Russie, pourquoi ne pas nous rejoindre le 20 février pour nous rendre devant le consulat britannique à Milan, devant l’ambassade britannique à Rome ou devant les États-Unis. consulat à Naples pour Julian Assange qui risque la mort, l’extradition et 175 ans de prison aux USA ? Ne venez pas parce que vous n’êtes pas seulement des serviteurs, mais aussi des hypocrites !