Pensées et propositions d’un homme intemporel.

Antonio Gramsci est l’un des plus grands penseurs que l’Italie (et le monde entier) ait jamais vu naître. Un penseur qui pourrait être accompagné de dizaines d’autres titres, comme celui d’homme politique, de philosophe et d’écrivain.

Un homme qui a donné sa vie pour ses idéaux et a passé toute son existence à développer des concepts jusque-là peu connus et peu compris dans le panorama mondial.

Une vie donc au service des autres, pour la construction d’une société plus juste et d’un monde meilleur. Sans jamais oublier les personnes qu’il a aimées jusqu’au dernier moment de sa vie (à qui il écrivait de manière récurrente même depuis la prison et dont il attendait avec impatience les lettres de réponse) et certainement aussi grâce à qui il a réussi à endurer des années de dur emprisonnement fasciste : Tania , Iulca, Maman, Delio, Giulia, etc.

La prison (jusqu’à la mort) considérée par le régime qui a gouverné l’Italie de 1922 à 1943 comme la seule arme capable d’arrêter l’élan des idées d’Antonio Gramsci.

Une vague déferlante qui ne s’est pourtant pas éteinte entre les quatre murs où il a été relégué pendant de trop nombreuses années, mais qui a déferlé de manière imparable, submergeant les quatre coins du globe.