« J’ai été jetée à terre, on m’a attaché le drapeau israélien entre les mains, on m’a donné des coups de pied et on m’a menacée de mort. »

La valise de GretaThunberg a été rendue par l’armée israélienne couverte de graffitis haineux ( y compris des insultes et des dessins obscènes) après avoir été prise sur le bateau de la Flottille de la Liberté

Greta Thunberg affirme avoir été torturée et humiliée sexuellement par les forces israéliennes.

« Ils m’ont attrapée, m’ont jetée à terre et m’ont jetée un drapeau israélien. »
« Ils m’ont traînée… J’avais le drapeau autour de moi tout le temps. Ils m’ont frappée et m’ont donné des coups de pied. »

« Ils m’ont déplacée très brutalement… “Un endroit spécial pour une femme spéciale”, ont-ils dit… ils répétaient “Lilla hora” (Petite pute), “Hora Greta” (Greta la pute). »

Elle raconte qu’un drapeau a été placé de manière à la toucher ; lorsqu’il a flotté, les gardes ont crié « Ne touchez pas au drapeau » et lui ont donné des coups de pied au flanc. Ses mains ont ensuite été étroitement attachées, et les gardes se sont alignés pour prendre des selfies avec elle dans cet état.

Allongée face contre terre, elle dit avoir été battue à plusieurs reprises :

« Chaque fois que je relevais la tête… le garde qui se tenait à côté de moi me donnait des coups de pied. »

Dans le coin où Greta était assise, les policiers ont placé un drapeau.

« Le drapeau était placé de manière à me toucher. Lorsqu’il a flotté et m’a touchée, ils ont crié "Ne touche pas au drapeau" et m’ont donné un coup de pied dans le flanc. Au bout d’un moment, j’ai eu les mains attachées très serrées avec des serre-câbles. Un groupe de gardes s’est aligné pour prendre des selfies avec moi pendant que j’étais assise comme ça. »

« Ils ont été jetés à terre et battus. Mais je ne pouvais le voir que du coin de l’œil, car chaque fois que je relevais la tête, le garde à côté de moi me donnait des coups de pied. »

Greta a ensuite été emmenée dans un bâtiment pour être fouillée et déshabillée. « Les gardes n’ont aucune empathie ni humanité, et ils n’arrêtent pas de prendre des selfies avec moi. Il y a beaucoup de choses dont je ne me souviens pas. Il se passe tellement de choses en même temps. On est sous le choc. On souffre, mais on essaie de garder son calme. »

Dehors, elle a été forcée de se déshabiller à nouveau, raconte-t-elle. « C’était des moqueries, des brutalités, et tout était filmé. Tous leurs actes sont extrêmement violents. »

« On a supplié… On pouvait avoir de l’eau ?… Ils ont marché en riant devant les bars avec des bouteilles d’eau, qu’ils ont jetées à la poubelle. »

Lorsque les gens s’évanouissaient, elle raconte qu’ils frappaient les cages et demandaient un médecin, mais qu’ils étaient menacés : « On va vous gazer. »

Elle a averti :« Si Israël, avec l’attention du monde entier, peut traiter de cette façon une personne blanche célèbre avec un passeport suédois, imaginez ce qu’ils font aux Palestiniens en secret. »

Greta Thunberg a accusé le gouvernement suédois d’avoir minimisé leur calvaire et de ne pas avoir fait pression pour obtenir de l’aide :

« Nous leur avons montré… nos blessures… ils ont dit : "Notre travail est d’écouter… vous avez droit à une assistance consulaire." Nous avons demandé de l’eau… Ils n’en ont pas apporté. »

Des courriels du ministère suédois des Affaires étrangères ont décrit la scène comme « un traitement brutal et le fait qu’elle était restée assise sur une surface dure pendant longtemps », minimisant ainsi ses allégations de torture.