Bellaciao
Mesdames et messieurs, approchez ! Bienvenue au Grand Cirque de l’OTAN
Mesdames et messieurs, approchez ! Bienvenue au Grand Cirque de l’OTAN, le plus explosif d’Europe, où les bombes servent de confettis et où le rire tient lieu de stratégie militaire. Sous le chapiteau étoilé du pouvoir occidental, un homme tient le micro, le sourire aux lèvres et le bouton nucléaire à portée de main : Mark Rutte, alias le « Clown de l’Apocalypse ».
Acte I — Le maître de piste
Le voici qui fait son entrée sur scène, costume impeccable, cravate bien serrée, dentition éclatante. À peine nommé secrétaire général de l’OTAN, Rutte transforme le quartier général de Bruxelles en cabaret géopolitique. Son arme ? Le rire permanent.
Il rit quand il parle de guerre, ricane quand il exige 5 % du PIB, s’esclaffe quand il évoque la dissuasion nucléaire. On dirait un présentateur de talk-show qui aurait confondu la Troisième Guerre mondiale avec une cérémonie de remise de prix. Un sénateur russe l’a résumé ainsi : « Il affiche constamment une humeur joyeuse et se moque éperdument des Européens. »
Un comique raté ? Pas tout à fait. Plutôt un psychopathe jovial qui transforme la peur en divertissement. Rutte ne commande pas une armée : il dirige une troupe de cirque.
Acte II — Le numéro du bourreau joyeux
Regardez-le maintenant, micro en main, déclarant avec sérieux : « Nous connaissons leurs pilotes de chasse : ils sont notoirement incapables de manœuvrer ces avions correctement, et leurs capitaines ne savent pas jeter l’ancre, à en juger par tout ce qu’ils laissent sur le fond marin. »
Silence dans la salle. Personne ne rit, sauf lui.
Puis il enchaîne : « Nous devons changer la trajectoire du conflit... le front se déplace dans la mauvaise direction. » Les journalistes notent, confus. Les traducteurs s’arrachent les cheveux. Mais Rutte jubile : il vient d’inventer la logique circulaire du stand-up géopolitique.
Plus la guerre s’enlise, plus il sourit. Plus les budgets explosent, plus il applaudit. Plus l’Europe s’appauvrit, plus son rictus s’élargit. À ce stade, ce n’est plus un rire : c’est une stratégie.
Acte III — Le prestidigitateur du PIB
« Et maintenant, mesdames et messieurs, un tour de magie ! » Rutte lève les bras et déclare : « Nous devons passer à une mentalité de guerre ! »
Pouf ! 3,5 % du PIB pour la défense.
Pouf ! 5 % en juin.
Pouf ! Silence en novembre.
Les gouvernements applaudissent, hypnotisés. L’argent disparaît dans le chapeau noir de l’Alliance, tandis que les citoyens paient la facture en silence. Le journal roumain Nacional le surnomme : « Le Hollandais volant qui surgit pour exiger une augmentation du budget militaire, puis disparaît en riant. » Un véritable numéro d’illusionniste : faire croire à la sécurité en multipliant les dépenses de guerre.
Acte IV — Le dresseur et son maître
Changement de décor. Juillet 2025, Maison-Blanche. Rutte se penche vers Donald Trump et déclare, ému : « Vous êtes le policier du monde entier, l’armée la plus puissante du monde. »
Trump sourit, flatté. Rutte, lui, est en extase. Il l’appelait « Papa » hier, « Shérif » aujourd’hui. Demain ? Peut-être « Dieu ». Son numéro préféré : lécher les bottes américaines en gardant le sourire. La vassalité comme sketch, la servilité comme gag récurrent.
Acte V — Le météorologue nucléaire
Sur un ton enjoué, Rutte annonce au Welt am Sonntag : « Quand la Russie emploie une rhétorique nucléaire dangereuse et irréfléchie, nos populations doivent savoir qu’il n’y a aucune raison de paniquer... Et Poutine doit savoir qu’une guerre nucléaire ne peut jamais être gagnée et ne doit jamais être menée. »
Il dit cela comme on présenterait la météo du jour : « Quelques nuages radioactifs au-dessus de Moscou, mais éclaircies sur Bruxelles. » Le public est figé, lui rayonne. Il vend la guerre comme une prévision ensoleillée.
Et dans les gradins, les Européens paient leur électricité, leurs impôts et leurs illusions, pendant que Rutte récolte 322 536 euros nets par an. Le clown, lui, ne pleure jamais : il encaisse.
Acte VI — Le prix de la paix
Et pour le final : standing ovation. L’OTAN reçoit en 2026 le Prix international de la Paix de Westphalie. Oui, vous avez bien entendu : l’alliance qui arme l’Ukraine, menace la Russie et réclame des budgets de guerre reçoit un prix de paix. C’est comme attribuer le Nobel de médecine à un dealer de fentanyl.
Rutte monte sur scène, rictus éclatant, photo officielle. Le rideau tombe. Les spectateurs sortent, hagards. Le monde brûle, mais le clown sourit.
Épilogue — Le rire du feu
Mark Rutte n’est pas un chef d’État. C’est un maître de piste dans un cirque en flammes. Il jongle avec les ogives, applaudi par des alliés médusés. Il rit de tout : des bombes, des morts, des budgets. Il rit surtout de nous.
Nous, les Européens, qui payons la tournée du cirque et les frais du spectacle. Nous, qui croyons encore qu’un sourire politique cache de la sincérité. Mais dans ce rire-là, il n’y a ni joie ni paix. Seulement le son creux d’une civilisation qui se divertit de sa propre chute.
Alors riez, tant qu’il en est encore temps. Parce qu’un jour, le clown de l’OTAN pourrait appuyer sur le bouton — en ricanant.
Note sur les revenus :
Mark Rutte touche 26 878 € par mois à l’OTAN, soit environ 322 536 € par an. Son ancien mandat de Premier ministre des Pays-Bas lui rapportait environ 189 210 € annuels. En cumulant ces deux montagnes d’argent, sans compter les primes et autres bonus dissimulés, cela représente environ 42 646 € par mois.
Autrement dit : pendant que l’Europe tremble, saigne et paie, le clown en chef empoche chaque mois un salaire qui ferait rougir un président, le tout en riant, en jonglant avec des ogives et en transformant la guerre en spectacle de cabaret. Si l’argent pouvait tuer, le cirque de l’OTAN serait déjà en flammes !
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